The Lost Canvas OAV 1 et 2
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phoenlx
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The Lost Canvas OAV 1 et 2
Je viens de voir l'épisode 1 !!
J'ADORE !!!!!
Je retrouve complètement ma vision du manga !!! J'attend clairement de le voir en meilleure qualité car le voir en screener ça gache tout mais je sais déjà que ça va me plaire !!! Je craignais l'inverse mais pour moi , même pour l'instant sans la bonne qualité, sans les trad, c'est exactement Lost canvas !! c'est ce que j'imaginais à la lecture du manga (donc le pari , pour ce premier épisode, est réussi ! Faudra voir les suivants !! )
ça me gênait un chuya au début de plus avoir les musiques d'avant (je préfère toujours, je ne vous le cacherais pas , les musiques de Yokoyama , mais je trouve que ces compositions accompagnent bien les scènes, et ça va pas faire de mal de changer un peu !!)
J'ai trop hate de les découvrir en qualité correcte maintenant
Merci Yoan pour ces liens !!!!!
J'ADORE !!!!!
Je retrouve complètement ma vision du manga !!! J'attend clairement de le voir en meilleure qualité car le voir en screener ça gache tout mais je sais déjà que ça va me plaire !!! Je craignais l'inverse mais pour moi , même pour l'instant sans la bonne qualité, sans les trad, c'est exactement Lost canvas !! c'est ce que j'imaginais à la lecture du manga (donc le pari , pour ce premier épisode, est réussi ! Faudra voir les suivants !! )
ça me gênait un chuya au début de plus avoir les musiques d'avant (je préfère toujours, je ne vous le cacherais pas , les musiques de Yokoyama , mais je trouve que ces compositions accompagnent bien les scènes, et ça va pas faire de mal de changer un peu !!)
J'ai trop hate de les découvrir en qualité correcte maintenant
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Modifié en dernier par phoenlx le lun. août 24, 2009 12:21 pm, modifié 1 fois.
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phoenlx
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Vu l'épisode 2
Je préfère le 1 mais ça vient du fait que je préfère déjà les passages du 1 dans le manga ( j'ai jamais été trop fan de l'apparition de Raimi du vers au sanctuaire) , sinon au niveau réalisation, rien à dire, c'est encore une fois très correct et fidèle à l'esprit Shiori ; Tout s'enchaine assez vite finalement , je pensais pas que les deux premiers OAV couvriraient autant de scènes mais je trouve que c'est pas plus mal ça évite les longueurs inutiles.
Seul bémol (mais c'est un inconditionnel de Yokoyama qui parle) je regrette un peu la fadeur de l'ambiance musicale par moments, mais ça reste correct. Ca vaudra jamais l'accompagnement des anciens épisodes mais ça donne au tout un petit air de Lodoss je trouve
Vous en pensez quoi ? Moi je trouve que cet anime part sur de très très bonnes bases je vais vraiment le suivre de près !!
Je préfère le 1 mais ça vient du fait que je préfère déjà les passages du 1 dans le manga ( j'ai jamais été trop fan de l'apparition de Raimi du vers au sanctuaire) , sinon au niveau réalisation, rien à dire, c'est encore une fois très correct et fidèle à l'esprit Shiori ; Tout s'enchaine assez vite finalement , je pensais pas que les deux premiers OAV couvriraient autant de scènes mais je trouve que c'est pas plus mal ça évite les longueurs inutiles.
Seul bémol (mais c'est un inconditionnel de Yokoyama qui parle) je regrette un peu la fadeur de l'ambiance musicale par moments, mais ça reste correct. Ca vaudra jamais l'accompagnement des anciens épisodes mais ça donne au tout un petit air de Lodoss je trouve
Vous en pensez quoi ? Moi je trouve que cet anime part sur de très très bonnes bases je vais vraiment le suivre de près !!
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J'ai moi aussi vu ces deux episodes en basse qualité.
Comme beacoup, j'ai vraiment pris mon pied !!!
La mise en scène est pluôt fidèle au manga mais ce n'est nullement dérengant. Les rajouts sont vraiment sympa (magnifique combat au début du second OAV) !
Les Seiyu s'en tirent parfaitement et les musiques sont réussies (de ce qu'on peut en juger pour l'instant en tout cas).
Aprés la déception du Meikai (quoi que le début du Kosho s'en tire plutôt bien) et d'Elysion, ça fait vraiment du bien.
Une seule ombre au tableau .... C'EST TROP DUR D'ATTENDRE LA SUITE !!!!!!!
Comme beacoup, j'ai vraiment pris mon pied !!!
La mise en scène est pluôt fidèle au manga mais ce n'est nullement dérengant. Les rajouts sont vraiment sympa (magnifique combat au début du second OAV) !
Les Seiyu s'en tirent parfaitement et les musiques sont réussies (de ce qu'on peut en juger pour l'instant en tout cas).
Aprés la déception du Meikai (quoi que le début du Kosho s'en tire plutôt bien) et d'Elysion, ça fait vraiment du bien.
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phoenlx
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http://www.youtube.com/results?search_q ... type=&aq=f
C'est pas encore vraiment du DVD rip mais la qualité est bien meilleure que sur les précédents liens..
sous titres en espagnol par contre .. pour les sous titres français je crois qu'ils sont là
http://forum.saintseiyapedia.com/index.php?topic=447.0
http://saintseiyapedia.com/wiki/Accueil
C'est pas encore vraiment du DVD rip mais la qualité est bien meilleure que sur les précédents liens..
sous titres en espagnol par contre .. pour les sous titres français je crois qu'ils sont là
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ayoros13
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Fallait me les demander j'hesitait à mettre les liens:
EPISODE 1 VOSTFR HD http://www.megaupload.com/?d=UQP7JPMZ
EPISODE 1 VOSTFR LD http://www.megaupload.com/?d=NKTAJ775
EPISODE 2 VOSTFR HD http://www.megaupload.com/?d=C9KAY4AO
EPISODE 2 VOSTFR LD http://www.megaupload.com/?d=1LG71H8O
Source: Team Hadoken-Fansubs
Ayoros13, au service des ailes !
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L’homme n’est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l’ange fait la bête » Pascal
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ayoros13
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OAV1 matté
Critique perso:
Je vais vous faire une confession, j'ai aimé.
Autant au début j'ai été assez perturbé par le style bien loin d'araki-himeno, trop moderne, ressemblant à pas mal d'animé moderne; mais au bout de 5 minutes la modernité de cet oav ne me génait plus du tout !
On revoit du Saint Seiya en animation, ca fait plaisir ! Surtout après les daubes du meikai et de l'élysion, des mouvements fluides, de belles images aussi on a le droit, la qualité graphique est magnifique, en plus en HD j'avais l'impression d'etre au ciné !Les images du générique de début sont quarément classe, mais je mettrai deux petites retenus: Sasha qui est pas superbe en armure divine, et Alone qui manque cruellement de charisme.
Mais ce que je retiens le plus de cet OAV c'est Tenma explosant les rochers, c'est THE moment qui m'a fait vibrer, ca m'a rappeler des moment de saint seiya, ou Seiya explose son cosmos et déchire tout !
Enfin pour les générique, l'opening j'aime pas trop, mais l'ending me plait bien.
note: 17
Critique perso:
Je vais vous faire une confession, j'ai aimé.
Autant au début j'ai été assez perturbé par le style bien loin d'araki-himeno, trop moderne, ressemblant à pas mal d'animé moderne; mais au bout de 5 minutes la modernité de cet oav ne me génait plus du tout !
On revoit du Saint Seiya en animation, ca fait plaisir ! Surtout après les daubes du meikai et de l'élysion, des mouvements fluides, de belles images aussi on a le droit, la qualité graphique est magnifique, en plus en HD j'avais l'impression d'etre au ciné !Les images du générique de début sont quarément classe, mais je mettrai deux petites retenus: Sasha qui est pas superbe en armure divine, et Alone qui manque cruellement de charisme.
Mais ce que je retiens le plus de cet OAV c'est Tenma explosant les rochers, c'est THE moment qui m'a fait vibrer, ca m'a rappeler des moment de saint seiya, ou Seiya explose son cosmos et déchire tout !
Enfin pour les générique, l'opening j'aime pas trop, mais l'ending me plait bien.
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phoenlx
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Même chose que toi pour tout en fait (je préfère aussi l'ending, en tout cas la chanson féminine ; l'autre m'énerve vaguement mais je m'en fou un peu)
Sinon ça m'a plu du'n bout à l'autre, on retrouve le manga quoi !! C'est ce que j'espérais et attendais. Après ben .. faut aimer le manga. Pour l'instant moi ça va, durant quelques OAV on va être surtout dans les passages que j'aime. c'est après que ça risque de se gâter (en gros : le moment où Hadès apparaît au sanctuaire après le combat Kagaho / Rasgado - j'aime d'ailleurs moyennement ce dernier ) mais on est pas encore là
Niveau design, j'aime mieux Pandore dans le manga, Athéna, j'aime bien, elle paraît plus jeune et petite fille que chez Kuru, mais dans le manga c'est comme ça aussi. Tous les persos paraissent plus jeunes, ils font enfin leur âge ce coup-ci !!
Quand on est habitué à l'ancien Saint Seiya c'est sûr que ça peut choquer, et moi je continuerai à préférer l'ancienne histoire (je veux dire la moderne : kuru) mais ça fait un peu de bien de changer d'air, d'époque, de style, de vibrer autrement, d'avoir une autre vision, un oeil féminin sur l'univers de nos chevaliers, ça change c'est cool, je fais pas mon difficile, en fait JE SUIS FAN j'attend la suite avec impatience
Sinon ça m'a plu du'n bout à l'autre, on retrouve le manga quoi !! C'est ce que j'espérais et attendais. Après ben .. faut aimer le manga. Pour l'instant moi ça va, durant quelques OAV on va être surtout dans les passages que j'aime. c'est après que ça risque de se gâter (en gros : le moment où Hadès apparaît au sanctuaire après le combat Kagaho / Rasgado - j'aime d'ailleurs moyennement ce dernier ) mais on est pas encore là
Niveau design, j'aime mieux Pandore dans le manga, Athéna, j'aime bien, elle paraît plus jeune et petite fille que chez Kuru, mais dans le manga c'est comme ça aussi. Tous les persos paraissent plus jeunes, ils font enfin leur âge ce coup-ci !!
Quand on est habitué à l'ancien Saint Seiya c'est sûr que ça peut choquer, et moi je continuerai à préférer l'ancienne histoire (je veux dire la moderne : kuru) mais ça fait un peu de bien de changer d'air, d'époque, de style, de vibrer autrement, d'avoir une autre vision, un oeil féminin sur l'univers de nos chevaliers, ça change c'est cool, je fais pas mon difficile, en fait JE SUIS FAN j'attend la suite avec impatience
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ayoros13
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Vu l'oav 2
Critique:
A peu près pareil que pour le 1, tjrs de beaux dessins, une belle animation, mention spéciale à l'évolution physique de Sasha, ce qui sont au dessins ont bien su lui foutre 2 ans de plus, lui faire une jolie poitrine etc xD
Sinon beurk Pandore, je la trouve moche tout simplement, celle de kuru et du junikyu meikai était tout bonnement classe, magnifique; celle de shiori est vulgaire, laide etc.
Enfin la couleur des cheveux de Shion me plait moyen, mais bon .
Heu j'oublie la petite scene en plus le combat yato tenma, sympa mais je trouve que ca change la vision que j'avais de Yato, j'avais de lui une vision d'un chevalier bien que peu baleze, attachant, sympa, voir comique; alors que là on a un plus une licorne à la jabu, qui se la pete etc
16 encore
Critique:
A peu près pareil que pour le 1, tjrs de beaux dessins, une belle animation, mention spéciale à l'évolution physique de Sasha, ce qui sont au dessins ont bien su lui foutre 2 ans de plus, lui faire une jolie poitrine etc xD
Sinon beurk Pandore, je la trouve moche tout simplement, celle de kuru et du junikyu meikai était tout bonnement classe, magnifique; celle de shiori est vulgaire, laide etc.
Enfin la couleur des cheveux de Shion me plait moyen, mais bon .
Heu j'oublie la petite scene en plus le combat yato tenma, sympa mais je trouve que ca change la vision que j'avais de Yato, j'avais de lui une vision d'un chevalier bien que peu baleze, attachant, sympa, voir comique; alors que là on a un plus une licorne à la jabu, qui se la pete etc
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phoenlx
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Je préfère aussi la pandore de Kurumada / Araki ( mais davantage encore celle du Meikai, je dois être un des rares)
Celle de Shiori est vulgaire certes dans certaines scènes du manga, mais bien que vulgaire je la trouve belle ( à sa manière) dans les OAV pour l'instant il n'y a pas de vulgarité (j'espère qu'ils gommeront un peu certains passages robe remontée et tout) en revanche je la trouve plus laide que dans le manga (plus laide que celle de Shiori justement) c'est un des aspects qui m'a gêné mais bon c'est pas essentiel
Celle de Shiori est vulgaire certes dans certaines scènes du manga, mais bien que vulgaire je la trouve belle ( à sa manière) dans les OAV pour l'instant il n'y a pas de vulgarité (j'espère qu'ils gommeront un peu certains passages robe remontée et tout) en revanche je la trouve plus laide que dans le manga (plus laide que celle de Shiori justement) c'est un des aspects qui m'a gêné mais bon c'est pas essentiel
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Meikai
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Mais est ce que les mangas rencontrent un certain succès au japon à la base ? (question innocente je n'en ai aucune idée)
Le phénix est le symbole même de l'espoir, celui qui guérit les blessures, qui libère des charges les plus lourdes, puis fatigué de vivre, il meurt puis renaît. Il chante et déploie ses ailes avec une telle force qu'il s'enflamme.
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ayoros13
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Meikai a écrit :Mais est ce que les mangas rencontrent un certain succès au japon à la base ? (question innocente je n'en ai aucune idée)
je sais pas ca, je crois que les jap se lassent des connerie de shiori, meme si certains de ses délires sont bons je trouve.
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ayoros13
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ayoros13 a écrit :Fallait me les demander j'hesitait à mettre les liens:
EPISODE 1 VOSTFR HD http://www.megaupload.com/?d=UQP7JPMZ
EPISODE 1 VOSTFR LD http://www.megaupload.com/?d=NKTAJ775
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Re: Lost Canvas ( Anime ) - OAV 1 et 2
Je viens de voir le premier oav, j'accroche (contrairement au manga papier ou par moment on ne comprend pas trop tout ce qui se passe) même si tout n'est pas parfait, hâte de voir la suite.
Concernant Pandore.
Concernant Pandore.
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phoenlx
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Re: Lost Canvas ( Anime ) - OAV 1 et 2
oui cette scène m'a choqué
mais
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Doctor Jones
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Re: Lost Canvas ( Anime ) - OAV 1 et 2
Vu le second oav. Dans la même ligné que le premier, ça démarre pour de bon. C'est moi ou Sasha est un sosie de Saori ?
Tout les chevalier s'entraient au sanctuaire ? Je pensais que Yato serait en Algérie comme Jabu.
Tout les chevalier s'entraient au sanctuaire ? Je pensais que Yato serait en Algérie comme Jabu.
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phoenlx
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Re: Lost Canvas ( Anime ) - OAV 1 et 2
Je pense que beaucoup voire tous doivent s'entrainer au sanctuaire, c'est le berceau des chevaliers, mais ceci dit tu poses là une vraie question, c'est vrai qu'on peut se demander pourquoi un coup l'armure de la licorne se trouve en algérie , un coup ailleurs ... qu'est-ce qui fait qu'après une guerre sainte une armure se met à reposer en un lieu donné ?
rtès bonne question que je me suis jamais posé
pour le sosie d'athéna, oui et non. physiquement elle lui ressemble mais tu verras ce sont deux personnalités assez différentes ( ceci dit perso j'aime mieux saori )
rtès bonne question que je me suis jamais posé
pour le sosie d'athéna, oui et non. physiquement elle lui ressemble mais tu verras ce sont deux personnalités assez différentes ( ceci dit perso j'aime mieux saori )
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Re: Lost Canvas ( Anime ) - OAV 1 et 2
Episode 1: La promesse
Ce premier épisode de Lost Canvas est un prologue à la série. Se déroulant quelques années avant le début de la Guerre Sainte, l'épisode nous introduit les personnages de deux orphelins, Tenma et Alone, que tout oppose mais qui sont liés par une amitié sincère. C'est là l'objectif de cet épisode: nous présenter les prémices de la Guerre Sainte tout en nous faisant croire à l'amitié entre ces deux personnages que le destin va séparer et qui vont se retrouver dans des camps opposés.
Etant orphelins, Tenma et Alone n'ont pas d'avenir qui les attend. Toutefois, Alone se passionne pour la peinture et s'y investit pleinement, travaillant très dur. A travers ses toiles, il cherche à exprimer les sentiments qui l'animent, d'où la pureté véhiculées par ses toiles. Cette idée s'exprime très tôt dans l'épisode où, après avoir passé des journées de travail intense à concevoir une couleur particulière (l'évocation d'un sentiment), il est prêt à sacrifier son dur labeur pour sauver une vie. C'est un principe d'échange équitable: ce sentiment qu'il a mis tant d'effort à matérialiser et qui exprime la valeur qu'il porte à la vie, il l'échange pour sauver une vie menacée. Sa bonté naturelle le porte à croire à ce qu'il y a de meilleur en l'homme et, alors qu'il assiste de ses yeux à une violence quotidienne, il veut croire qu'au fond d'eux les gens aspirent toujours au bien. Son idéalisme est touchant et relève d'une innocence enfantine, mais la suite de l'épisode montre bien qu'elle n'est pas à propos: les villageois sont prêts à les laisser crever pour sauver leur peau, et même là il continue de croire en ces idéaux.
En opposition, on trouve le personnage de Tenma qui est l'opposé d'Alone sur bien des points. Il a tendance à régler les problèmes par la violence et il ne se fait pas d'illusion sur les intentions des autres, à juste titre. Son amitié avec Alone, sincère et profonde, surprend les autres. En réalité, les deux personnages sont animés par une même bonté qui s'exprime différemment. Tenma est un grand frère protecteur pour les orphelins (les démunis), prêt à tout pour les protéger de la violence de ce monde. Alone a reconnu cette bonté et il tend à recadrer les écarts de conduite de Tenma, dû à une certaine impulsivité dans son rôle de grand frère qui relève d'un noble sentiment et d'une certaine innocence là-aussi. Mais contrairement à Alone, Tenma vit au jour le jour, ne bossant pas assidument comme son ami (on le voit flemmarder au pied d'un arbre) et on voit ainsi qu'il ne songe pas vraiment à l'avenir. Il n'a pas de rêve autre que de tenir une promesse faite à une amie.
Nos deux personnages sont donc des enfants mûs par une innocence qu'ils vont être amenés à perdre. Pour Alone, cela survient quand le prêtre d'un village voisin porte son intérêt sur la recherche d'une couleur "véritable". Cette recherche de la "vérité" fait implicitement opposition à cette naïveté innocente et touchante qui anime le jeune garçon. C'est une métaphore philosophique sur la quête du savoir, une référence subtile à la Genèse où Adam et Eve acquièrent le "savoir" en bravant l'interdit. La métaphore devient évidente à l'arrivée d'Alone dans un jardin qui fait penser au jardin d'Eden et où il cueille une fleur "rouge" sur un arbre. Le prêtre est ainsi le "serpent" qui, usant habilement des mots, parvient à convaincre Alone de cueillir le fruit défendu. Le fruit défendu (une pomme) est bien sûr symboliquement la représentation de l'acte sexuel et c'est le rôle de Pandore ici, "déniaisant" d'un baiser Alone qui perd sa pureté et son innocence. Le "baiser empoisonné" avec le sang qui s'écoule d'une manière particulière appuie cette idée de perte d'innocence apparentée à l'acte sexuel. Dès lors, tel les amants de la Genèse, Alone prend conscience de la "vérité", sa vision s'éveille et le monde autour de lui perd sa beauté. Dorénavant, il verra de ses yeux la mort et la souffrance partout où il passe et son comportement commencera naturellement à changer, perdant peu à peu ses illusions et sombrant dans la peur en priant pour la salvation. Ce début de changement commence à s'évoquer dès la scène dans le refuge des orphelins.
Du côté de Tenma, on assiste à une histoire plus classique: un jeune garçon animé par des sentiments nobles qui traduit un talent naturel pour une discipline surnaturelle (qu'on l'appelle le cosmos, la force ou tout ce qu'on veut) et qui est pris sous son aile par un maître qui fait figure de mentor. Ici, le mentor n'est pas un vieil homme qui transmet son savoir à la prochaine génération, mais un individu assez jeune, plus une sorte de grand frère qui devient un modèle pour son cadet. De plus, le brillant tour de force de cet épisode est d'arriver à nous faire ressentir la nature du "cosmos" avant même que ce concept soit clairement défini. Tout comme Tenma le ressent de manière innée, le spectateur le comprend sans qu'il y ait besoin de faire de longues explications. On est vraiment dans l'expression sous sa forme la plus pure, par l'image et par les sentiments des personnages: le cosmos comme expression de la relation forte entre Tenma et les autres orphelins ! C'est comme ça que Tenma le comprend, c'est comme cela que cet élément est traité pour le moment, et il n'y a pas besoin d'en dire plus à ce stade. Le rôle du personnage de Dohko est de faire le lien entre cet élément et la chevalerie d'Athéna, un lien qu'il définira plus tard en définissant ce qu'est réellement le cosmos. Il apporte aussi à Tenma la perspective d'avenir que le jeune garçon n'avait pas jusque là, l'encourageant à faire usage de ce talent naturel exprimé par ses liens avec les autres à une plus échelle plus vaste, traçant la voie de ce qui deviendra l'un des chevaliers d'Athéna. Comme Alone avec sa "perte d'innocence" progressive, Tenma s'engage dans la voie qui marquera la fin de son enfance et son passage à l'âge adulte. Seul bémol: la décision de Tenma de s'engager dans la voie des chevaliers semble innée, sans qu'on nous montre le garçon prendre le temps d'y réfléchir un peu. Un léger bémol qui reste toutefois très anecdotique au regard de l'excellence du reste.
Ce premier épisode est donc un prologue sous forme d'histoire d'amitié et de séparation. La séparation est souvent l'un des passages les plus difficiles dans une amitié aussi forte car on sait qu'au moment des retrouvailles, le temps aura passé, les gens auront suivi leur propre chemin dans la vie, et on ne peut être sûr que les choses seront à nouveau comme avant. C'est cela Lost Canvas: une histoire de retrouvailles entre amis d'enfance qui virent au drame. Ce premier épisode pose les prémices d'une tragédie homérique, une histoire d'hommes dominés par le destin et qui luttent de toute leur existence. Ce sont là les intentions initiales de Masami Kurumada dès les origines de son univers, et personne mieux que Shiori Teshirogi a réussi à toucher à l'essence des choses et à sublimer ces thématiques.
Cet épisode pose des bases solides pour la série, consacrant ses efforts à développer le passé des personnages principaux et à construire leur psychologie. Ces derniers correspondent à des stéréotypes mais il y a un certain nombre de nuances dans leur comportement et une richesse dans la variété des émotions qui créent des nuances jusque là inédites dans l'univers de Saint Seiya. On a des personnages bien définis et cela fait que leurs émotions véhiculent une sincérité touchante à chaque instant. Sans être marqués par une grande originalité, on s'attache à ces personnages et on frémit à l'idée de ce qu'il adviendra de leur amitié et à ce que ces enfants, une fois devenus "adultes", devront traverser.
Le studio TMS est connu pour faire un travail de qualité et Lost Canvas ne déroge pas à la règle: les moyens ont été mis pour offrir un véritable spectacle visuelle. L'image est superbe, l'animation est d'excellente fracture, belle et dynamique, et la réalisation est particulièrement efficace, portant merveilleusement le récit. Les musiques sont de fracture assez honnêtes pour une production de ce genre, affirmant leur style et leur identité mais sans non plus faire d'éclat, sans s'embarrasser d'une continuité avec la série originale qui ne ferait qu'amener le compositeur à s'imposer des contraintes dans l'expression de son identité artistique. Par chance, ici la question ne s'est pas posée, la TMS n'ayant pas les droits des musiques de la série originale, et le compositeur a donc pu laisser libre cours à son univers musical pour nous proposer quelque chose de différent de ce que l'on connait. Après, chacun appréciera ou non le résultat de son travail selon la valeur qu'on lui porte. Mais la somme de tous ces détails techniques, c'est qu'on trouve dans l'ensemble une belle histoire bien racontée, riche et pleine de sens. Que demander de plus ?
Quant au doublage japonais, il est dans l'ensemble de fracture tout à fait correcte. L'ensemble est fluide, sans qu'une prestation vocale ne se démarque plus qu'une autre, et l'ensemble des personnages sont bien incarnés. On a donc un doublage parfaitement homogène ce qui le rend très fluide et plaisant à suivre.
Un excellent départ pour cette série avec un épisode plein de promesses. Cet épisode surprend en se détachant initialement de l'univers Saint Seiya afin de prendre le temps de poser ses bases et de permettre aux spectateurs de découvrir ces personnages et leur vie avant le début de l'histoire probablement dite. Une introduction nécessaire qui permet ensuite à l'histoire de décoller sur les meilleurs auspices. La narration est donc maîtrisée pour l'heure et l'épisode donne envie de voir où l'auteure mènera son histoire.
Note: 19/20.
Ce premier épisode de Lost Canvas est un prologue à la série. Se déroulant quelques années avant le début de la Guerre Sainte, l'épisode nous introduit les personnages de deux orphelins, Tenma et Alone, que tout oppose mais qui sont liés par une amitié sincère. C'est là l'objectif de cet épisode: nous présenter les prémices de la Guerre Sainte tout en nous faisant croire à l'amitié entre ces deux personnages que le destin va séparer et qui vont se retrouver dans des camps opposés.
Etant orphelins, Tenma et Alone n'ont pas d'avenir qui les attend. Toutefois, Alone se passionne pour la peinture et s'y investit pleinement, travaillant très dur. A travers ses toiles, il cherche à exprimer les sentiments qui l'animent, d'où la pureté véhiculées par ses toiles. Cette idée s'exprime très tôt dans l'épisode où, après avoir passé des journées de travail intense à concevoir une couleur particulière (l'évocation d'un sentiment), il est prêt à sacrifier son dur labeur pour sauver une vie. C'est un principe d'échange équitable: ce sentiment qu'il a mis tant d'effort à matérialiser et qui exprime la valeur qu'il porte à la vie, il l'échange pour sauver une vie menacée. Sa bonté naturelle le porte à croire à ce qu'il y a de meilleur en l'homme et, alors qu'il assiste de ses yeux à une violence quotidienne, il veut croire qu'au fond d'eux les gens aspirent toujours au bien. Son idéalisme est touchant et relève d'une innocence enfantine, mais la suite de l'épisode montre bien qu'elle n'est pas à propos: les villageois sont prêts à les laisser crever pour sauver leur peau, et même là il continue de croire en ces idéaux.
En opposition, on trouve le personnage de Tenma qui est l'opposé d'Alone sur bien des points. Il a tendance à régler les problèmes par la violence et il ne se fait pas d'illusion sur les intentions des autres, à juste titre. Son amitié avec Alone, sincère et profonde, surprend les autres. En réalité, les deux personnages sont animés par une même bonté qui s'exprime différemment. Tenma est un grand frère protecteur pour les orphelins (les démunis), prêt à tout pour les protéger de la violence de ce monde. Alone a reconnu cette bonté et il tend à recadrer les écarts de conduite de Tenma, dû à une certaine impulsivité dans son rôle de grand frère qui relève d'un noble sentiment et d'une certaine innocence là-aussi. Mais contrairement à Alone, Tenma vit au jour le jour, ne bossant pas assidument comme son ami (on le voit flemmarder au pied d'un arbre) et on voit ainsi qu'il ne songe pas vraiment à l'avenir. Il n'a pas de rêve autre que de tenir une promesse faite à une amie.
Nos deux personnages sont donc des enfants mûs par une innocence qu'ils vont être amenés à perdre. Pour Alone, cela survient quand le prêtre d'un village voisin porte son intérêt sur la recherche d'une couleur "véritable". Cette recherche de la "vérité" fait implicitement opposition à cette naïveté innocente et touchante qui anime le jeune garçon. C'est une métaphore philosophique sur la quête du savoir, une référence subtile à la Genèse où Adam et Eve acquièrent le "savoir" en bravant l'interdit. La métaphore devient évidente à l'arrivée d'Alone dans un jardin qui fait penser au jardin d'Eden et où il cueille une fleur "rouge" sur un arbre. Le prêtre est ainsi le "serpent" qui, usant habilement des mots, parvient à convaincre Alone de cueillir le fruit défendu. Le fruit défendu (une pomme) est bien sûr symboliquement la représentation de l'acte sexuel et c'est le rôle de Pandore ici, "déniaisant" d'un baiser Alone qui perd sa pureté et son innocence. Le "baiser empoisonné" avec le sang qui s'écoule d'une manière particulière appuie cette idée de perte d'innocence apparentée à l'acte sexuel. Dès lors, tel les amants de la Genèse, Alone prend conscience de la "vérité", sa vision s'éveille et le monde autour de lui perd sa beauté. Dorénavant, il verra de ses yeux la mort et la souffrance partout où il passe et son comportement commencera naturellement à changer, perdant peu à peu ses illusions et sombrant dans la peur en priant pour la salvation. Ce début de changement commence à s'évoquer dès la scène dans le refuge des orphelins.
Du côté de Tenma, on assiste à une histoire plus classique: un jeune garçon animé par des sentiments nobles qui traduit un talent naturel pour une discipline surnaturelle (qu'on l'appelle le cosmos, la force ou tout ce qu'on veut) et qui est pris sous son aile par un maître qui fait figure de mentor. Ici, le mentor n'est pas un vieil homme qui transmet son savoir à la prochaine génération, mais un individu assez jeune, plus une sorte de grand frère qui devient un modèle pour son cadet. De plus, le brillant tour de force de cet épisode est d'arriver à nous faire ressentir la nature du "cosmos" avant même que ce concept soit clairement défini. Tout comme Tenma le ressent de manière innée, le spectateur le comprend sans qu'il y ait besoin de faire de longues explications. On est vraiment dans l'expression sous sa forme la plus pure, par l'image et par les sentiments des personnages: le cosmos comme expression de la relation forte entre Tenma et les autres orphelins ! C'est comme ça que Tenma le comprend, c'est comme cela que cet élément est traité pour le moment, et il n'y a pas besoin d'en dire plus à ce stade. Le rôle du personnage de Dohko est de faire le lien entre cet élément et la chevalerie d'Athéna, un lien qu'il définira plus tard en définissant ce qu'est réellement le cosmos. Il apporte aussi à Tenma la perspective d'avenir que le jeune garçon n'avait pas jusque là, l'encourageant à faire usage de ce talent naturel exprimé par ses liens avec les autres à une plus échelle plus vaste, traçant la voie de ce qui deviendra l'un des chevaliers d'Athéna. Comme Alone avec sa "perte d'innocence" progressive, Tenma s'engage dans la voie qui marquera la fin de son enfance et son passage à l'âge adulte. Seul bémol: la décision de Tenma de s'engager dans la voie des chevaliers semble innée, sans qu'on nous montre le garçon prendre le temps d'y réfléchir un peu. Un léger bémol qui reste toutefois très anecdotique au regard de l'excellence du reste.
Ce premier épisode est donc un prologue sous forme d'histoire d'amitié et de séparation. La séparation est souvent l'un des passages les plus difficiles dans une amitié aussi forte car on sait qu'au moment des retrouvailles, le temps aura passé, les gens auront suivi leur propre chemin dans la vie, et on ne peut être sûr que les choses seront à nouveau comme avant. C'est cela Lost Canvas: une histoire de retrouvailles entre amis d'enfance qui virent au drame. Ce premier épisode pose les prémices d'une tragédie homérique, une histoire d'hommes dominés par le destin et qui luttent de toute leur existence. Ce sont là les intentions initiales de Masami Kurumada dès les origines de son univers, et personne mieux que Shiori Teshirogi a réussi à toucher à l'essence des choses et à sublimer ces thématiques.
Cet épisode pose des bases solides pour la série, consacrant ses efforts à développer le passé des personnages principaux et à construire leur psychologie. Ces derniers correspondent à des stéréotypes mais il y a un certain nombre de nuances dans leur comportement et une richesse dans la variété des émotions qui créent des nuances jusque là inédites dans l'univers de Saint Seiya. On a des personnages bien définis et cela fait que leurs émotions véhiculent une sincérité touchante à chaque instant. Sans être marqués par une grande originalité, on s'attache à ces personnages et on frémit à l'idée de ce qu'il adviendra de leur amitié et à ce que ces enfants, une fois devenus "adultes", devront traverser.
Le studio TMS est connu pour faire un travail de qualité et Lost Canvas ne déroge pas à la règle: les moyens ont été mis pour offrir un véritable spectacle visuelle. L'image est superbe, l'animation est d'excellente fracture, belle et dynamique, et la réalisation est particulièrement efficace, portant merveilleusement le récit. Les musiques sont de fracture assez honnêtes pour une production de ce genre, affirmant leur style et leur identité mais sans non plus faire d'éclat, sans s'embarrasser d'une continuité avec la série originale qui ne ferait qu'amener le compositeur à s'imposer des contraintes dans l'expression de son identité artistique. Par chance, ici la question ne s'est pas posée, la TMS n'ayant pas les droits des musiques de la série originale, et le compositeur a donc pu laisser libre cours à son univers musical pour nous proposer quelque chose de différent de ce que l'on connait. Après, chacun appréciera ou non le résultat de son travail selon la valeur qu'on lui porte. Mais la somme de tous ces détails techniques, c'est qu'on trouve dans l'ensemble une belle histoire bien racontée, riche et pleine de sens. Que demander de plus ?
Quant au doublage japonais, il est dans l'ensemble de fracture tout à fait correcte. L'ensemble est fluide, sans qu'une prestation vocale ne se démarque plus qu'une autre, et l'ensemble des personnages sont bien incarnés. On a donc un doublage parfaitement homogène ce qui le rend très fluide et plaisant à suivre.
Un excellent départ pour cette série avec un épisode plein de promesses. Cet épisode surprend en se détachant initialement de l'univers Saint Seiya afin de prendre le temps de poser ses bases et de permettre aux spectateurs de découvrir ces personnages et leur vie avant le début de l'histoire probablement dite. Une introduction nécessaire qui permet ensuite à l'histoire de décoller sur les meilleurs auspices. La narration est donc maîtrisée pour l'heure et l'épisode donne envie de voir où l'auteure mènera son histoire.
Note: 19/20.
"-Tu as abandonné la chance d'avoir une vie paisible. Pourquoi ? Je vais demander une dernière fois. Est-ce que je trouve qu'être avec Haruhi et d'avoir que des problèmes est amusant ? Réponds !
-Bien sûr que oui ! Bien sûr que c'est amusant ! Peu importe le nombre de fois où tu le demanderas, ma réponse restera la même: "Bien sûr !"
-Bien sûr que oui ! Bien sûr que c'est amusant ! Peu importe le nombre de fois où tu le demanderas, ma réponse restera la même: "Bien sûr !"
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