Hier j'ai vu ce film de SF (qui est une production netflix que l'on doit au réalisateur Andrew Niccol, le réalisateur de Bienvenue à Gattaca, également scénariste sur The Truman show etc)
Certains démontent apparemment ce film, pour ma part j'ai beaucoup aimé le découvrir, malgré quelques faiblesses (on sent un peu que c'est une production netflix, par un je ne sais quoi difficile à définir ; en le regardant hier, j'avais parfois plus l'impression d'être face à un long épisode d'une série comme Black Mirror, mais ce n'est absolument pas péjoratif car j'adore cette série à quelques épisodes bémol près)
Si je compare ce film à Black Miror c'est pour une impression de réalisation mais aussi par certaines thématiques.
synopsis :
Dans un avenir où l'intimité est abolie, un enquêteur se penche sur le profil d'un tueur en série qui a été effacé de tous les enregistrements visuels.
Nous retrouvons Clive Owen au casting dans le rôle d'un enquêteur de la police qui cherche à élucider des meurtres commis par une personne qui parvient à pirater la vision de ses victimes en leur donnant une vision subjective d'eux-même. C'est très déstabilisant ; Dans cette société futuriste, chaque personne est relié à une sorte de vaste toile mondiale (un réseau comme internet mais hyper évolué, et nommé ether) et tous les souvenirs sont transférés dessus. Les yeux (dotés d'implants) agissent comme des caméras qui permettent d'enregistrer tout ce que l'on fait, l'intimité n'existe plus, et en cas de meurtre ou autre, la police peut ainsi remonter au passé des personnes jusque dans les moindre secondes, et observer l'environnement de la personne cible comme en étant dans sa peau, ce qui permet évidemment de faire remonter plein d'indices.
Mais certains hackers parviennent à déjouer le système, et s'anonymiser.
C'est le cas notamment de l'autre personnage du film, joué par l'actrice Amanda Seyfried (qui une fois n'est pas coutume en plus est brune et je trouve que ça lui va mieux encore
). Je n'en dis pas plus. J'ai bien aimé ce film, pour le jeu des acteurs, et l'ambiance paranoïaque qui se dégage de cette société futuriste vers laquelle la notre pourrait bien tendre un jour, à force de confier notre intimité à de la technologie et de nous "noyer déjà dans le net"
(là c'est évidemment beaucoup plus poussé encore, et le film prolonge des réflexions qu'on pourrait déjà se faire de nos jours, au vu du monde den 2021)
La fin du film par contre m'a laissé sur ma faim.
. Enfin bon, faudra que je vois ce film avec l'approche qui est prise, ça a de quoi bien titiller, après c'est vrai que quand on lit comme ça à propos de ce système y a de quoi lui préférer d'autres parmi ceux que l'on peut connaître dans la SF mais bon après voila, c'est une autre proposition. 
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. D’abord il va croire qu’il s’agit d’un bug, on poursuit donc avec quelques petites résolutions d’affaires avant de se plonger dans une affaire plus conséquente avec d’étranges meurtres qui surviennent et où nous avons de la vision piratée…
. Mais bon on a les travers et risques possibles à côté et là nous avons une bonne petite dose d’exploration avec ça avec toute la manipulation qui peut s’orchestrer. Ceci étant dit, nous en voyons les défauts mais même sans être ultra-connecté nous pouvons déjà être énormément leurré avec la manipulation des images, les fakes news, les deep fake, les réalisations de l’IA qui contribue encore plus à nous tromper, on grimpe sans cesse des échelons et que nous ayons autant d’alertes sur le fait qu’il faut toujours rester attentif à ce que l’on peut voir. Il s’agit de faire fonctionner sa cervelle, chose que nous faisons bien pour les souvenirs et avec une telle technologie ça pourrait être problématique de ne se fier qu’à ça, on a l’importance du fait qu’il faut pouvoir être en mesure de ne pas se reposer uniquement sur ce que la technologie nous permet de stocker.