
Galaxina est un film réalisé par William Sachs, sorti en 1980. Dorothy Stratten y incarne la fameuse androïde aux cotés de Stephen Macht, J.D Hinton, Lionel Mark Smith, Tad Horino et Avery Schreiber.
Le film a reçu Prix du public, lors du Festival international du film fantastique de Bruxelles en 1983.
Synopsis :
L'an 3008. Galaxina, robot humanoïde femelle, pilote l'Infinity, un vaisseau de la police galactique, dont l'équipage comprend le capitaine Butt, le sergent Thor, le lieutenant Buzz et les mécaniciens Maurice et Sam Wo. L'engin transporte également un Croc-Croc, un monstre qui se nourrit exclusivement de roches. L'Infinity reçoit l'ordre de traquer le pirate Ordrik, soupçonné de vouloir s'approprier l'Étoile Bleue de Quartz, un minerai contenant le pouvoir des étoiles...
Je me suis occupé de voir la chose hier soir et ça nous fait du sympathique nanar avec lequel on déguste bien du regard la belle androïde qu’est Galaxina, attrait principal de ce film dont on peut apprécier le mélange que ça nous fait en même temps entre Star Wars, Star Trek et Alien sans oublier de la petite part de Western et une glorification d’un dieu assez particulier, de quoi bien en sourire

Nous avons du côté parodique plutôt pas mal avec cette comédie que ça forme, ça aurait pu pousser encore plus dans le délire mais c’est déjà bien comme ça et que nous ayons quelques bons spécimens réunis avec cette équipage de flics de l’espace qui vont se retrouver missionnés pour récupérer un précieux artefact qui ne doit surtout pas tomber entre de mauvaises mains. Avec ces lascars nous avons quelques bonnes cocasseries et que ça ne manque pas de jus avec Galaxina qui ne peut pas être touchée, faisant qu’il faut se contenter de la contempler, cependant les choses vont changer grâce au développement de ses sentiments et que nous ayons un heureux élu faisant que nous avons du bon petit changement avec cette androïde


C’est clairement pas du chef d’œuvre, on est dans le nanar mais qu’il est bien sympathique à voir, c’est de quoi ne pas passer un mauvais moment avec ce petit film de science-fiction qui présente une bonne petite part de cocasse. Au passage coucou au Monsieur Spock de l’histoire qui a un rôle bien différent de l’original
