Quentin Tarantino

[Scarabéaware]

Sinon oui concernant la police et la manif je suis d'accord avec toi , la Police devrait largement avoir plus de pouvoirs et qu'on les laisse pleinement faire leur travail sans critiquer leurs méthodes surtout quand ils doivent faire ça aux déchets de l'humanité.

[Somewhere]

Quentin Tarantino: un documentaire sur le réalisateur des Huit Salopards et Pulp Fiction



Le réalisateur de Pulp Fiction et Les Huit Salopards sera au coeur d'un documentaire intitulé 21 Years:: Quentin Tarantino, mis en scène par Tara Wood...

Alors qu'il s'apprête à dévoiler son 8ème long métrage, Les Huit Salopards, Quentin Tarantino va prochainement faire l'objet d'un documentaire. Réalisé par Tara Wood, qui s'était déjà intéressé à l'oeuvre de Richard Linklater, 21 Years: Quentin Tarantino se concentrera sur les 21 premières années de la carrière de "QT", de Reservoir Dogs à Hateful Eight. Des comédiens tels que Samuel L. Jackson, John Travolta, Christoph Waltz, Robert Forster, Michael Madsen, qui ont joué pour Tarantino, lèveront le voile sur la filmographie d'un auteur récompensé par la Palme d'Or à Cannes en 1994 pour Pulp Fiction. Ce documentaire, dont le tournage a débuté il y a peu, devrait être visible dès 2016.

http://www.allocine.fr/article/ficheart ... 48414.html

[Somewhere]

Quentin Tarantino reçoit son étoile sur le Walk of Fame !



Le réalisateur Quentin Tarantino, dont le 8ème film, "Les Huit salopards" sort le 6 janvier sur nos écrans, vient de décrocher son étoile sur le célèbre Walk of Fame. Découvrez les photos de l'inauguration.

[Somewhere]

http://www.allocine.fr/diaporamas/cinem ... -18649342/

[Scarabéaware]

Voila du très beau décrochage d'étoile
Et tiens je vois seulement pour le documentaire, vivement qu'on puisse voir ça

[phoenlx]

C'est mérité je croyais qu'il en avait déjà une moi

[Dark Hal]

C'est pas lui qui voulait un Oscar à son nom ? Edit : non quatre oscars plutôt

[phoenlx]

ah je ne sais pas
un oscar à son nom ? comment ça

[Somewhere]

un oscar à son nom ? comment ça

il voulait renommer l'Oscar du Meilleur Scénario par l'Oscar du Meilleur Tarantino.

[phoenlx]

pfff il est fou lui

[Scarabéaware]

Oh punaise le mégalo

[Bombur]

[Scarabéaware]

Alerte aux emmerdeurs

http://www.lepoint.fr/cinema/tarantino-accuse-de-plagiat-31-12-2015-2006376_35.php#xtor=CS1-31

« Je suis un voleur. Je me sers dans tous les films déjà réalisés. » Ces propos tenus par Quentin Tarantino pourraient bien se retourner contre lui. Le voilà accusé de plagiat par deux scénaristes qui jugent que le scénario oscarisé de Django Unchained a décidément beaucoup à voir avec leur propre scénario, intitulé Freedom. Leur histoire : celle de « Jackson Freeman, un esclave en fuite, qui souhaite la libération de sa famille des mains d'un propriétaire de plantation malveillant » et qui reçoit dans son entreprise l'aide d'un blanc.

Il est vrai que cette trame ressemble beaucoup à celle du film de Tarantino ou Jamie Foxx et Christoph Waltz font face à l'odieux Leonard DiCaprio pour sauver de l'esclavage la malheureuse Kerry Washington. Selon Oscar Colvin, Jr. et son fils Torrrance J. Colvin, ils ont fourni « le coeur, les os et les muscles de l'unique idée à l'origine de Django Unchained ». Même s'ils reconnaissent par ailleurs que le réalisateur a « tarantinosé » leur histoire. En effet, si Tarantino admettait être un voleur, il ajoutait : « Les grands artistes ne font pas d'hommages, ils volent ! »

Pour étayer leur plainte, les plaignants affirment avoir soumis leur scénario à un premier producteur qui aurait évoqué la possibilité que Tarantino puisse collaborer au projet. Ils ont donc porté plainte le 24 décembre contre le réalisateur, la Columbia et la Weinstein Company, coproducteur du film, et réclament une indemnisation de « plusieurs centaines de millions de dollars à définir lors du procès ».

Django Unchained a rapporté 425 millions de dollars à ses producteurs.

[Somewhere]

http://www.lepoint.fr/cinema/tarantino-accuse-de-plagiat-31-12-2015-2006376_35.php#xtor=CS1-31

Y a un film actuellement qui cartonne au box-office qui a aussi plagié un film sorti en 1977.

[Scarabéaware]

bien dis

[phoenlx]

http://www.lepoint.fr/cinema/tarantino-accuse-de-plagiat-31-12-2015-2006376_35.php#xtor=CS1-31

Y a un film actuellement qui cartonne au box-office qui a aussi plagié un film sorti en 1977.

plagié ou pas en tout cas le nouveau star wars a l'air de cartonner au box office donc quoiqu'il en soit c'est une super opération marketing ; pour la renommée des acteurs, du réalisateur, le merchandizing, l'impact du film dans les médias, sur les forums de discussion, en ce moment tout le monde parle apparemment de ça, de star wars, sur you tube je remarque que toutes les vidéos qui remontent sont du star wars ( je ne les cherche pas spécialement mais plein de chaines auxquelles je suis abonné remontent du star wars ) ici on ne parle apparemment que de l'actrice Daisy machin là, elle est sans doute bien plus connue que Thrawn elle maintenant

[Somewhere]

Tant mieux, et que ça continue comme ça, que Star Wars domine le monde.

[Scarabéaware]

Tout en allant dépecer Avatar et Titanic

[SauronGorthaur]

http://www.lepoint.fr/cinema/tarantino-accuse-de-plagiat-31-12-2015-2006376_35.php#xtor=CS1-31

Y a un film actuellement qui cartonne au box-office qui a aussi plagié un film sorti en 1977.

plagié ou pas en tout cas le nouveau star wars a l'air de cartonner au box office donc quoiqu'il en soit c'est une super opération marketing ; pour la renommée des acteurs, du réalisateur, le merchandizing, l'impact du film dans les médias, sur les forums de discussion, en ce moment tout le monde parle apparemment de ça, de star wars, sur you tube je remarque que toutes les vidéos qui remontent sont du star wars ( je ne les cherche pas spécialement mais plein de chaines auxquelles je suis abonné remontent du star wars ) ici on ne parle apparemment que de l'actrice Daisy machin là, elle est sans doute bien plus connue que Thrawn elle maintenant

Preuve que le succès n'est pas gage de qualité

[Regnak]

Preuve que le succès n'est pas gage de qualité

Pas nouveau ça.

[Somewhere]

Et du coup j'ai aussi ce top à mettre à jour, Pulp Fiction enfin égalé !

1. Les Huit Salopards, Pulp Fiction 20/20
3. Django Unchained 18/20
4. Kill Bill : Volume 2 17/20
5. Reservoir Dogs 16/20
6. Jackie Brown 15/20
7. Inglourious Basterds 14/20
8. Kill Bill : Volume 1 13/20
9. Boulevard de la Mort 12/20

[phoenlx]

ah carrément

[Somewhere]

Toi t'as pas vu ma critique dans le topic du film.

[phoenlx]

j'évite de trop lire les critiques avant de voir les films de peur d'être spoilé
mais apparemment ce film cartonne

[Somewhere]

Oui un ptit 20 de Scarabé aussi.

[Scarabéaware]

j'évite de trop lire les critiques avant de voir les films de peur d'être spoilé
mais apparemment ce film cartonne

T'inquiètes on en a pas trop dis Et tiens vais mettre à jour aussi

[Scarabéaware]

Allez mise à jour aussi



1. Kill Bill, volumes 1 et 2 : 20/20 ++
2. Les 8 salopards : 20/20
3. Django Unchained : 19/20
4. Reservoir Dogs : 18/20
5. Pulp Fiction : 18/20

Vala allez

[Somewhere]

Donc toi go go go sur les films qu'il te manque.

[Scarabéaware]

Oui , le prochain je dirais bien Jackie Brown du coup

[Somewhere]

Huit vrais salopards chez Tarantino



Quentin Tarantino a le don pour créer des personnages qu'on adore détester, et le prouve une fois de plus cette semaine avec "Les Huit salopards". Pour l'occasion, retour sur les pires ordures de sa filmographie...

Mr. Blonde dans "Reservoir Dogs"



Difficile d’en trouver un pour rattraper les autres dans la première bande de salopards de Quentin Tarantino. Mais s’il fallait arrêter notre choix sur LA pire ordure de l’équipe, on aurait vite fait de mentionner cet inoubliable psychopathe interprété par Michael Madsen. Accusé par ses comparses d’avoir tué plusieurs civils, il a tôt fait de leur donner raison lorsqu’il se retrouve seul à seul avec un policier ligoté. Lors d’une séquence devenue culte, il se met en devoir de soulager ce dernier d’une oreille en se balançant sur Stuck in the Middle with You de Stealers Wheel.

Zed dans "Pulp Fiction"



Quoi qu’en dise la mention "To protect and to serve" placardée sur sa voiture de police, Zed (incarné par Peter Greene) ne protège absolument personne et ne sert que ses propres intérêts. "Propres" est d’ailleurs un bien grand mot, il suffit d’observer un tout petit peu ses agissements dans le deuxième film de Tarantino pour s’en apercevoir. En effet, avec l’aide de ses "amis" Maynard et La Crampe, ce véritable pervers qui n’a en fait rien d’un flic digne de ce nom séquestre Butch (Bruce Willis) et Marcellus Wallace (Ving Rhames) dans son sous-sol avec l’intention d’abuser d’eux. Un crime qui ne restera pas impuni (loin de là), car lorsque Butch parvient à se saisir d’un katana, la chance tourne. C’est alors un long et abominable supplice que Marcellus promet à Zed pour expier ses actes. Et quelque chose dans son regard nous dit qu’il tiendra parole…

Ordell Robbie dans "Jackie Brown"



Si ce trafiquant d’arme sans foi, sans loi, et sans aucun respect pour la gent féminine n’est peut-être pas la pire ordure de ce dossier, Ordell Robbie est quand même un beau salaud. Interprété par Samuel L. Jackson (acteur fétiche de Tarantino qui collectionne les rôles de salopards dans sa filmographie), il ne se contente pas de refourguer ses armes, et n’hésite pas à les utiliser lui-même quand on lui titille un peu la gâchette. Beaumont Livingston (Chris Tucker), l’un de ses passeurs, a par exemple eu le malheur de se faire arrêter par la police. Il ne sortira de sa cellule que pour entrer dans un coffre de voiture : celui d’Ordell, qui lui ouvrira 100 mètres plus loin pour lui faire exploser la cervelle.

Bill dans "Kill Bill"



La première erreur qu’a commise la dénommée Black Mamba (Uma Thurman), c’est d’intégrer le Détachement International des Vipères Assassines, une organisation de criminels dirigée par Bill (David Carradine). La seconde, c’est d’être tombée enceinte de ce dernier. Du coup, le jour où elle décide de tout quitter (Bill et les Vipères) pour démarrer une autre vie aux côtés de son nouveau compagnon, un terrible cadeau de mariage lui est réservé. Sans rien laisser deviner de sa fureur, après avoir flegmatiquement laissé chanter sa flûte, Bill réunit ses meilleurs éléments et massacre tout ce qui bouge à l’intérieur de la chapelle. Tout, y-compris Black Mamba, qu’il laisse pour morte sur le plancher de l’église. Si vous en doutiez encore, sachez donc qu’en se réveillant miraculeusement, elle a une très (très) bonne raison de chercher à "tuer Bill"…

Stuntman Mike dans "Boulevard de la mort"



C’est sans se douter qu’un prédateur nocturne traine dans les environs qu’Arlene, Shanna et Jungle Julia décident d’aller passer leur soirée dans un petit bar d’Austin. Elles y feront bientôt la connaissance du grand méchant loup de Tarantino, incarné par Kurt Russell, qui faute de crocs et de griffes, assassine à coups de freins et d’accélérateur. Ancien cascadeur, Mike n’est désormais plus rien qu’un psychopathe tueur de jeunes femmes au volant de sa Chevrolet Nova. Un mode de vie qu’il finira par payer très cher…

Hans Landa dans "Inglourious Basterds"



Littéralement inconnu du grand public avant de jouer les salopards pour Tarantino, le comédien autrichien Christoph Waltz révèle en 2009 un grand talent pour interpréter les méchants en se glissant dans l’uniforme du colonel nazi Hans Landa. Surnommé le "Chasseur de Juifs" à cause des nombreuses horreurs qu’il a commises en France sous l’occupation, cet officier SS s’empresse de faire honneur à sa réputation dès la première séquence du film. Là, buvant le petit lait que veut bien lui servir le fermier Perrier LaPadite (Denis Ménochet), il a tôt fait de démontrer sa cruauté à coups de belles paroles et de sourires enjôleurs.

Calvin Candie dans "Django Unchained"



A contre-emploi total dans le premier western de Tarantino, DiCaprio prouve qu’il peut très bien jouer les méchants en endossant la redingote de l’abominable Calvin Candie. Ce puissant propriétaire terrien est avant tout un cruel esclavagiste qui n’a rien à envier au colonel Landa. Pour se distraire, il organise des combats de mandingue (c’est-à-dire des luttes à mort et à mains nues entre deux esclaves) dans son petit salon. Mais à la différence de son prédécesseur dans ce dossier (qui en dépit de sa cruauté faisait preuve d’une certaine ingéniosité), Candie est idiot. Malgré les airs d’aristocrate qu’il essaye tant bien que mal de se donner et sa faible maitrise du français, c’est souvent en poussant des gueulantes et en donnant des coups de marteau qu’il se sortira des situations délicates.

Daisy Domergue dans "Les Huit salopards"



Elle n’est évidemment pas la seule, puisque le principe même du film est d’offrir au spectateur une palette de personnages tous plus détestables les uns que les autres : à lui de faire son choix et de prendre parti pour l’un ou pour l’autre. Mais parmi ces 8 salopards incontestables, certains ont tendance à bien se démarquer. Daisy Domergue, alias La Prisonnière (Jennifer Jason Leigh), par exemple, n’a pas été condamnée à la corde pour rien. Visage repoussant, langage ordurier, manières répugnantes et regard malveillant… Rares sont les caractéristiques qui parviennent à nous la rendre plus agréable. Qu’elle soit en train de manger, de maugréer ou de cracher, Daisy Domergue semble sans arrêt en train de fomenter un mauvais coup…

http://www.allocine.fr/article/ficheart ... 49489.html