• Date de sortie : 3 juillet 2013, (1h 56min)
• Réalisé par : Marc Forster
• Avec : Brad Pitt, Mireille Enos, Elyes Gabel…
• Genre : Science fiction , Action , Fantastique
• Nationalité : Américain
De nos jours : le petit Brad, sa femme et ses deux fillettes sont coincés au petit matin dans les embouteillages des rues de New-York… Comme d’hab me direz-vous sauf que là le bouchon semble s’éterniser jusqu’au moment où un camion fou vient percuter les voitures. Et voilà que les gens se mettent à courir partout dans tous les sens. Là le petit Brad se dit : « Merde c’est pas mon jour, ma caisse est flinguée et on va devoir se taper le reste du chemin à pied ! ». Finalement il réussi à voler un camping car abandonné alors que l’une de ses gamines manque d’air. Journée de merde ! Obligé de s’arrêter dans un drugstore pour trouver de la Vantoline pendant que dehors ça court dans tous les sens, les déments attaquant les fuyards à coups de dents. En sortant du drugstore le camping car a disparu. Le petit Brad, fort de son expérience du terrain quand il bossait à l’ONU, explique qu’il faut rester mobile pour s’en sortir et il décide d’emmener sa famille prendre refuge dans le plus proche HLM du quartier non sans avoir passé un coup de fil à un de ses anciens potes de travail. Arrivé au building il nous fait le remake de : « 28 jours plus tard », poursuivit par les déments il trouve refuge dans l’appartement d’une famille Latino. Brad insiste : « Il faut rester mobile ». Le but est de rejoindre le toit du bâtiment où un hélico doit les prendre en charge au petit matin lui et sa petite famille. C’est à ce moment là que les agités aux dents affûtées débarquent et se mettent à slamer dans le vide pour s’accrocher à l’hélico…
Voilà notre petit Brad sauvé. L’hélico se pose sur un navire de guerre où son pote et quelques survivants attendent la suite des évènements. On apprend qu’il s’agit d’un virus qui rend les gens barjots et accro à la viande humaine : des zombies ! L’info est confirmée par un message reçu en provenance de la Corée du Sud. Le pote de Brad et le chef des opérations militaires lui font comprendre qu’il doit se rendre là-bas avec le seul scientifique présent à bord pour trouver l’origine du virus s’il veut que sa famille soit sauvée. Et voilà notre petit Brad accompagné de « meuwines » à bord d’un avion à destination du camp militaire coréen ravagé par les zombies. Pas de bol ! En arrivant le scientifique glisse sur la porte d’embarquement du zinc et se tire une bastos dans la tête. Le petit Brad aura quand même le temps de récupérer une info capitale auprès d’un prisonnier US qui vendait des armes à la Corée du Nord : le message reçu n’a aucune importance, la réponse est en Israël. Voilà donc notre petit Brad reparti non sans avoir laissé son équipe de « meuwines » se faire déssouder par les zombies. Il ne reste plus que lui et le pilote…
Arrivés à Jérusalem ils sont tous deux rassurés de voir que l’aéroport fonctionne toujours et on le conduit dans une « safe zone » au sein de la ville assiégée par les zombies. On apprend également que les Israëliens ont deux millénaires d’expérience en construction de murs !?… Malheureusement les peuplades locales, heureuses d’être dans cette enceinte protégée, expriment leur joie en entamant un concert live improvisé de musique folklorique, ce qui a pour effet de provoquer les zombies qui ne supportent pas la musique (ou le folklore local). Les zombies escaladent le mur et les architectes revoient leur copie…
Le pilote du petit Brad s’envole sans lui et il est obligé de faire de l’avion-stop avec l’aide de l’armée…
Une fois à bord de l’avion, le petit Brad accompagné d’une copine israëlienne à qui il a coupé la main gauche parce qu’elle s’est fait mordre, passe un coup de fil à son pote resté sur le bateau qui lui indique qu’il y a un labo de recherche virale qui est prêt à le recevoir pour l’aider à trouver un vaccin. L’avion et tous ses passagers sont donc détournés de leur destination initiale pour rallier le Pays de Galles… Chemin faisant l’un des passagers se zombifie et contamine tous les autres, le petit Brad, n’écoutant que son courage, balance une grenade dans l’avion. Ce qui entraîne l’élimination des vilains monstres mais un atterrissage douloureux où seul le petit Brad et sa copine s’en sortent si ce n’est une zombie toujours accrochée à son siège…
Blessé au côté par une lame de fer, le petit Brad réussira à rejoindre le labo à pied avec l’aide de sa copine. Balèze le Brad quand même parce qu’on se demande s’il aurait réussi à rejoindre le Pays de Galles à la nage si l’avion avait explosé au dessus du Channel ! Arrivé au labo, il est soigné et reprend vite du poil de la bête pour apprendre que la partie du labo où se trouvent les pires virus est sous le contrôle des zombies. Encore une journée de merde ! Pourquoi me direz-vous ? Tout simplement parce que le petit Brad a repéré que les zombies n’attaquaient pas certaines personnes qui selon lui (bien qu’il ne soit pas scientifique) doivent être atteinte d’une maladie… Vraiment balèze le petit Brad, moi il m’épate ! Finalement, il réussi à se frayer un passage jusqu’à la chambre de Pandore en louvoyant au travers des zombies comme vous avez dû apprendre à le faire si vous avez joué au jeu vidéo « Resident Evil » premier du nom. Ce qui lui vaut une note de 6/6 pour sa performance technique et artistique…
Une fois dans la chambre il se rappelle qu’en passant en avion au-dessus de la France il a pensé à l’épidémie de grippe mexicaine, grippe porcine, grippe H1N1 qui a touché le monde quelques années plus tôt… Là ça fait tilt, il se souvient avoir vu à la TV que le gouvernement de Naboléon cherchait un remède à ce fléau et que lorsque le Premier Sinistre avait posé la question : « Est-ce que quelqu’un à une idée pour éradiquer cette maladie ? » Roselyne Bachelot s’était levée d’un bond, toute excitée clamant haut et fort : « Moi ! J’ai un virus dans le tiroir ! ». Son sang ne faisant qu’un tour, le petit Brad s’injecte un cocktail de petite vérole (ou variole) et de H1N1. Ce qui lui permet de revenir sans avoir à slalomer au poste de contrôle avec une boîte pleine de virus pour fabriquer un vaccin. C’est ainsi que la France a pu vendre toutes ses doses de vaccins H1N1 inutiles et que Roselyne Bachelot a sauvé le monde…