Synopsis : Après une apocalypse ayant transformé la quasi-totalité de la population en zombies, un groupe de d'hommes et de femmes mené par l'officier Rick Grimes tente de survivre...
Casting :
Andrew Lincoln -> Rick Grimes
Sarah Wayne Callies -> Lori Grimes
Chandler Riggs -> Carl Grimes
Jon Bernthal -> Shane
Laurie Holden -> Andrea
Jeffrey DeMunn -> Dale
Steven Yeun -> Glenn
Emma Bell -> Amy
Michael Rooker -> Merle Dixon
Melissa Suzanne McBride -> Carol
Juan Gabriel Pareja -> Morales
Jeryl Prescott -> Jacqui
Robert Singleton -> T-Dog
Je viens de voir le premier épisode
Quelle maitrise, les acteurs sont géniaux, les maquillages sur les zombies sont terrifiants...
Très flippant.
Histoire de l'épidémie
The Walking Dead prend place dans l'État de Géorgie situé au sud-est du territoire des États-Unis. Une sorte d'épidémie très dangereuse et contagieuse transformant les personnes en rôdeurs se déclare, en premier lieu sur le territoire national des États-Unis d'Amérique, puis dans le monde entier. L'épicentre de la maladie n'est pas connu, mais il est possible de suivre son évolution grâce à divers éléments et notamment la chronologie dressée par le Docteur Edwin Jenner à la fin de la première saison. La chronologie suivante peut être considérée comme juste :
Jours précédant l'épidémie : une épidémie de grippe est constatée sur la côte ouest des États-Unis. Le personnel médical remarque rapidement que la maladie est beaucoup plus virulente qu'une grippe normale, ce qui est confirmé par la progression rapide de l'infection et le décès constaté des personnes touchées. Malgré tout, les autorités ne préconisent aucune mesure sanitaire particulière et les médias relaient assez peu les informations sur les violences de certains « infectés » qui commencent à se manifester au sein des villes ;
Jour 1 : début constaté et reconnaissance de l’épidémie par les autorités gouvernementales. Le premier patient atteint est nommé Wildfire. L'épicentre est inconnu et il est seulement indiqué qu'il se situe sur le territoire des États-Unis, vraisemblablement dans un centre important de population, tel qu'une grande ville. On apprend dans la série Fear the Walking Dead que l'épicentre pourrait se situer à Los Angeles. Les forces de l'ordre locales sont rapidement dépassées par la violence et le nombre des « infectés », ainsi que les violentes émeutes qui en découlent. Les autorités fédérales du pays décident d'intervenir en soutien aux autorités locales pour gérer la situation. Le gouvernement mobilise l'armée et les services gouvernementaux les plus variés (police, hôpitaux, CDC, FEMA, médias d'informations) pour informer, secourir, évacuer et protéger les populations civiles à travers le pays (rappel : les États-Unis comptent alors environ 310 millions d'habitants). Des zones de sécurité saines sont créées par les militaires au sein des villes et la population civile y est rassemblée. Les forces armées mènent des opérations de nettoyage pour éliminer les rôdeurs, afin de confiner, puis détruire l'infection ;
Jours 2 à 62 : la maladie s'étend très vite et inexorablement à travers le pays. Le nombre de rôdeurs ne cesse d'augmenter en dépit de l'action des militaires. Les attaques des morts-vivants contre les forces fédérales sont de plus en plus nombreuses. Les difficultés de l'armée à contrôler les zones saines dispersées au sein des villes se conjuguent à l'augmentation des pertes militaires, ce qui oblige le gouvernement à abandonner la stratégie de confinement. Les autorités décident peu à peu de regrouper la population dans les grandes villes, telles Atlanta ou Washington D.C afin de mieux protéger les citoyens. L'armée abandonne les secteurs jugés non défendables (quitte, parfois, à abandonner les populations civiles) et se replie vers les grandes zones de sécurité définies par le gouvernement. L'US Air Force bombarde au napalm les zones abandonnées par l’armée, afin de limiter la propagation de l'infection (notamment les principales villes de la côte ouest de Seattle à San Diego et jusqu'au Colorado (dans la série Fear the Walking Dead) ;
Jour 63 : après 2 mois, la pandémie devient brusquement mondiale, ne touchant plus seulement les États-Unis, mais le monde entier. Dans le pays, l’évacuation se poursuit vers les zones sûres, définies par le gouvernement à travers le pays. L'augmentation du nombre de rôdeurs devient exponentielle en dépit des bombardements aériens menés par l'armée ;
Jours 64 à 193 : le pays sombre totalement dans le chaos. Les zones sûres, définies par le gouvernement (comme Atlanta et Washington) sont à leur tour envahies par les infectés. L'armée comme la population connaissent des pertes titanesques de façon très rapide et violente, parfois de l'ordre de 90 ou 95 pour cent des effectifs d'une unité ou d'une ville. Le gouvernement, dans une dernière tentative pour gérer la crise, ordonne aux militaires de nettoyer les zones à risques (hôpitaux, cliniques, laboratoires ou même camps de réfugiés non contrôlés), même si cela doit passer par l'élimination systématique de civils visiblement non affectés ;
Jour 194 : les États-Unis sont dévastés depuis maintenant plusieurs mois, le gouvernement et l'armée ont disparu, et des dizaines de millions d'Américains meurent ou se transforment en rôdeurs.