Vos fanfictions Zelda

Diverses créations de fans de Zelda (fans du forum et plus généralement de la toile) : fanfictions, dessins, cosplays, jeux vidéo amateurs etc
Maedhros
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Messagepar Maedhros » sam. avr. 22, 2017 7:03 pm

Je crée ce topic pour ceux et celles qui veulent présenté leurs propres fan fictions sur Zelda. Alors je vais commencer par une petite partie de la mienne qui est sur watppad.

https://www.wattpad.com/user/quentasilmarion

Aller un petite bout pour vous montrer

À l'est du royaume d'Hyrule s'étendait une immense forêt de verdure, d' insectes bourdonnant, d'oiseaux guettant entre les branches et de bêtes sauvages rôdant en son sein. Portant de ce havre de paix, les conteurs des tavernes et les bardes de la route en parlent qu'au plus tard de la nuit et d'une horreur égalant les légendes des démons. Leur auditoire tremble devant les morts remuants, les vents se levant mystérieusement sans le frisson de feuilles et d'yeux hostiles vous veillant dans la nuit.

Ces histoires Berne n'en a que trop entendu parler, et ce par des centaines de voix : homme femme, jeune, vieux. Ce sont des contes obscurs servant à effrayer les derniers clients quand revenant chez eux, la simple brise d'été les faits claquer des dents et suspecter la moindre ombre de la cité. Pourtant, Berne le savait, il a bien pire que du vent dans cette forêt, les contes ont toujours un fond de vérité.

Et il se trouvait, dans une salle pleine de nobles, lui crasseux en habit crotter sentant la sueur, ses cheveux bruns longs d'un an. Pourtant personne ne le remarqua, il était dans un cabaret après tout, à peine éclairé renvoyant une ambiance lugubre et bonne aux histoires, mais aussi aux rumeurs d'objet et de lieux maudits, exactement ce qu'il venait chercher, l'une en particulier l'intéressait, le murmure d'une clé pour une porte. Il commanda du vin. La servante lui sourit, il était plutôt mignon. Il ne sembla pas la remarquer et regardait la scène, seul endroit réellement éclairé de toute la pièce. Elle s'en alla quelque peu déçue.

...

Le jeune hyliens s'assit. La salle était pleine cette nuit, peut-être le cabaretier lui donnera un petit supplément, il pourrait lui payer un petit bijou, un bracelet peut être? Il leva la main et la pièce fit silence. Tous le regardaient avec impatience. À vingt-quatre ans, il était certainement le meilleur conteur de toute la cité d'Hyrule. Cela faisait cinq ans qu'il faisait affaire avec le cabaret de l'aigle : l'un des plus prestigieux qui réunissait les lards, bardes, troubadours et autres grands artistes de la cité. Quelques nobles et gens des déesses aussi. Évidemment, lui-même s'était enrichi et possédait maintenant une jolie chaumière, voisine d'Antar, un célèbre poète ayant même été à la cour royale et Lorne, un peintre d'une grande renommée à travers le monde connue.

Malheureusement, cette renommée venait avec un désagrément, ce public bien plus cultivé voulait des histoires bien plus glorieuses, mystérieuses et inspirantes que le peuple. Il devait donc toujours chercher de nouvelles légendes, en fabriquer aussi. Il avait d'ailleurs trouvé une excellente, autant la suivante de la princesse que les anecdotes de celles-ci. À ses longs cheveux blonds, a pâleur de sa peau, l'odeur de son parfum, lui remplissait encore les narines. Ils étaient amants depuis maintenant deux mois. Ah quelle était belle! Anns pensait presque qu'il était amoureux, mais comment le savoir? Ce n'étais nullement la grisante épopée des chansons, une simple joie de la voir. Sa belle était la confidente de la jeune princesse dont l'intelligence passait l'âge de ses sept ans. La jeune fille avait parlé d'un des objets des plus précieux de la famille royale et son aimée c'étais empressé de lui enraconter les moindres détail. Il se leva et pendant trois heures raconta l'histoire d'un des trésors les plus secrets du trône : l'ocarina du temps.

Plusieurs capitaines de la garde froncèrent les sourcils, certains membres du clergé s'indignèrent. Finalement, tous haussèrent les épaules, car ce n'était qu'une légende sur la famille royale parmi tant d'autres et pas des pires.

À l'aube, l'orateur parti, il vit du coin de l'œil un couple dans la grisaille du début de l'automne, il ne s'en méfia pas. ce fut quelques heures plus tard que l'on vit son corps soigneusement caché. Les proches pleurèrent, certains artiste aussi par respect, mais aucun ne s'interrogèrent réellement plus que cela. Les rues de la Citée pouvait être si dangereuse et des secrets pouvaient facilement s'envolé.
Si vous voulez le contacter, veiller le faire par courriel.

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Messagepar alinéa » lun. avr. 24, 2017 4:15 am

Il a l'air vraiment cool ce topic
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Messagepar Maedhros » lun. avr. 24, 2017 7:40 pm

Merci n'hésite pas à poster tes propres fics celle que tu as déja écrite ou non.
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Messagepar alinéa » jeu. avr. 27, 2017 2:23 am

J'aimerais bien lire la suite de ton histoire elle commence très bien et je l'adore
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Messagepar Maedhros » jeu. avr. 27, 2017 2:24 am

J'ai mit le liens vers watpad, mais sinon, j'en posterai bientôt une nouvelle partie sur le forum.
Si vous voulez le contacter, veiller le faire par courriel.

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Messagepar alinéa » jeu. avr. 27, 2017 3:10 am

ok et merci
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Messagepar Maedhros » jeu. avr. 27, 2017 11:34 pm

Tiens j'ai met un bout, sur un personnage non inventé cette fois.

Elle se réveilla d'un soubresaut, son oreiller était couvert de sueur. La jeune hylienne, sortit de son lit et se rhabilla. Simplement vêtue d'une chemise de nuit quasi transparente montrant toute sa nudité. Fait de soie venant directement des contrées lointaines et brodées de mauve. Cette couleur à elle seule prouvait son affiliation à la famille royale. Elle en était d'ailleurs l'unique héritière, car à la grande déception de Sa Majesté son père, sa mère n'avait pu que la concevoir avant de devenir infertile. Son corps et son esprit brisé, selon les docteurs : pire elle a eu une fille... une fille.
Sa chambre était digne de sa stature, aussi grande qu'une maison des quartiers bourgeois de la cité. Ses murs étaient décorés de tapisseries, les trois dragons, la sage Firone veillant sur les bois perdus, le colérique Ordinn alimentant les feux du mont du Péril et le squelette du fou de Lanelle sur fond de sable. Sur la facade nord était brodée la célèbre Force qui selon les légendes vivrait en elle. Ses commodes et armoires étaient faites en pin noir. Son tapis, fabriquer par le gérudos et le summum de la grandeur était le plafond où trônait les Trois créant le monde avec mille couleurs.
Bien qu'ayant encore le corps plat d'une enfant, la princesse Zelda semblait avoir un esprit d'une grande sagesse, déroutant ses tuteurs et la cour. À trois ans elle parlait couramment l'Hyliens, bégayait le goronnais ainsi que le zoranais. Vers cinq ans, elle avait déjà lu l'intégralité du livre des Trois, connaissait l'hyliens ancien ainsi que la langue des déesses, s'intéressait aux mathématiques des antiques célestiens et leur philosophie. Maintenant, elle maitrise les règles de la cour, le fonctionnement de la politique ainsi que l'histoire du royaume.
Pourtant, elle était complètement déroutée, depuis maintenant six mois, elle faisait des rêves de plus en plus étranges. Ceux-ci étaient extrêmement flous, ce n'était même pas des songes , non pas un floue d'image sans sens aucun. Non, cela devait avoir une logique, mais pas encore assez précise, comme si toutes les pièces du puzzle n'étaient pas toutes installées. L'on ne pouvait avoir pas avoir une idée de l'image de celui-ci, mais en six mois, le rêve était devenu on ne peut plus claire, c'était un danger, mais en quoi pour qui pourquoi ? C'était la question. Pourquoi elle, d'ailleurs ? Elle en avait déjà entendu parler d'étrange pouvoir détenu par la famille royale. Mais ce n'est que des absurdité, elle en avait toujours été sûre. Elle, une fille si rationnelle faisait des rêves comme certains monarques des dernières ères. Ces questions-là la traumatisaient, normales pour une fillette de sept ans. Elle y pensait toute la nuit et une grande partie de la journée.
Zelda alla sur le balcon, elle frissonna par la caresse de la brise sur sa peau. Ce soir, le rêve fut différent, plus concret, un si ce n'est pas des morceaux du puzzle s'était ajouté, le danger concernait la royauté, mais en quoi ? Par qui ? Ce n'était pas encore précisé, il fallait laisser au futur le temps d'arriver, pour ensuite tenter de l'enrayer. Demain, elle en parlera à Impa, elle sait beaucoup de choses qu'elle-même ignore, même sur les secrets du Trône, peut-être pourrait-elle l'aider.
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Messagepar alinéa » ven. avr. 28, 2017 2:40 am

Wow super j'adore ça vraiment j'ai hâte de voir et de lire la suite de ton histoire qui me captive :D :D :D
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Messagepar Maedhros » ven. avr. 28, 2017 3:57 am

Je suis rendu au chapitre trois, mais mes chapitre dure environ 3000 mots. Le dernier c'est dans les 5000 mots. Je vais l'écrire cet été le chapitre 3, je n'ai pas le temps sinon, les études :roll: et merci beaucoup, si tu as des conseil, un avis n'hésite pas. :super:
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Messagepar alinéa » ven. avr. 28, 2017 4:05 pm

Je te comprends tu sais mais j'ai bien hâte de lire la suite de ton histoire et je vais me montrer très patiente pour ça
Je l'adore vraiment beaucoup :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :bisous: :bisous:
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Messagepar Maedhros » ven. avr. 28, 2017 5:03 pm

Moi aussi :bisous:
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Messagepar alinéa » dim. avr. 30, 2017 1:14 am

:hug: et comme on dit la patience est une vertue
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Messagepar Maedhros » jeu. mai 04, 2017 3:27 pm

Voilà une nouvelle parties:

Il leva son bras et frappa, le vide

Du sable et de la pierre jusqu'à perte de vue

Retournant sa main, le guerrier bloqua la lourde épée et recula d'un pas pour soutenir le coup.

Des espaces sans eau et des os qui blanchissent

L'homme regarda la femme et lui envoya un crochet qui fit mouche

Du soleil à foison qui brûle la peau nue

Sonner, elle tenta bien une pointe, mais le gérudo l'évita facilement.

Oasis taries, mirages qui se nourrissent

Il la désarma et la repoussa alors qu'une deuxième gérudo armée d'un poignard courbe l'attaqua par-derrière

De soif inassouvie, de désirs éperdus.

Celle-là était bien plus rapide que la première et faillit bien faire mouche, mais leur seigneur s'agenouilla et la maîtrisa par une prise de bras.

Forteresse de sécheresse, et de dunes nomades.

Une autre la frappa, mais Ganondorf fut plus rapide et tenta de la désarmer.

D'ocres solitaires, de lumières mouvantes.

Elle l'évita gracieusement d'une pirouette. Elle cogna, avec son coude, les parties intimes de son seigneur.

De vents tourbillonnants et de roses des sables.

Celui-ci grogna de douleur. Il la renvoya ensuite d'un coup de pied.

De sinistres hurlements qui toujours épouvantent.

Il tenta de la désarmer, mais la jeune guerrière lui envoya son pied sur sa main lui faisant lâcher son sable

D'hommes usés, qui piétinent, vers une mort imminente.

Elle l'assomma du revers de sa hache et Ganondorf goûta le sable de la cour de la forteresse gérudo avant que le noir l'envahît.

Le soleil fut rouge et regagnait le Saint-Royaume, quand Ganondorf se réveilla. Son lit de fourrure était trempé de sueur. Il s'assit pour remarquer sa nudité. Quelques images lui revinrent de femmes, de subtils parfums, de cheveux de flammes et torride chaleur. Son sourire éclaira un visage dur, couleur suie montrant pendant un bref instant des dents claires comme les étoiles. C'était déjà réveiller ! Lesquelles pourtant avaient profité ainsi de sa faiblesse ? Peu importe, il avait passé un bon moment, bien que fugace.

–Votre Majesté ?

Il se tourna vers la porte où une garde se tenait, étant vraisemblablement rentrée sans qu'ils s'en aperçoivent. Celle-ci ne sembla d'ailleurs point se soucier de sa nudité.

–Le seigneur Berne demande votre royale présence.

Elle s'éclipsa. Le roi du désert se vêtit d'une toge et rentra dans l'antichambre. L'hyliens l'attendait. Celui-ci était tenu d'habits de soie : preuve qu'il était allé voir Lunis. Bien brave ! Il devait avoir d'excellente nouvelles pour ainsi s'afficher ! Celui-ci s'agenouilla. Le gérudo le fit relever.

–Le vent vous a-t-il porté des murmures, exilé ?

–J'ai marché à travers les ténèbres, défié les morts et les vivants pour vous rapporter ce que vous m'avez demandé.

Berne sortit délicatement d'une enveloppe un parchemin jaunit par le temps et le donna au protecteur des gérudos. Celui-ci ouvrit le sceau portant le symbole des sheikas. Il dut prendre un certain temps pour le lire, car la langue était vieille, bien que parfaitement soignée. Il le récita alors, incapable de contenir son excitation.

Dans un royaume au-delà de nos yeux,

Le ciel était d'or et non bleu,

Là-bas, la Triforce avait la capacité,

De faire des rêves de mortels une réalité

Scellé par-delà le temps,

Celui-ci qui la voudra tant,

Devra unir les trésors de Tous,

Pour obtenir le pouvoir de Tous

–Où avez-vous trouvé une telle perle ?

–Là où les morts marchent, criant contre les crimes des Trois.

Ganondorf partit alors d'un grand rire se répercutant partout à l'intérieur de la forteresse. Toutes arrêtèrent leurs activités et frémirent, car la dernière fois qu'il avait poussé un tel rire, le peuple du désert était rentré en guerre.
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Messagepar alinéa » ven. mai 05, 2017 6:17 am

super super super super cool j'adore ça une vrai histoire captivante :bisous: :bisous: :bisous: :bisous: :bisous: :bisous: :bisous: :bisous: :bisous: :bisous: :bisous: :bisous: :bisous: :bisous: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug: :hug:
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Messagepar Maedhros » ven. mai 05, 2017 1:19 pm

Je vais améliorer cette partie cette été, je ne l'aime pas beaucoup, mais merci. :bisous:
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Messagepar alinéa » dim. mai 07, 2017 3:55 am

C'est vraiment bien :hat: :hat: :hat:
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Messagepar Maedhros » jeu. mai 11, 2017 11:27 pm

t la Sainte-Grâce devina que sa sainte descendante survivra et grandira tant qu'elle ne grandit point et ses glorieux héritiers engageront la mort quand naîtra des cendres l'orphelin de la forêt

L'Oiseau de feu, verset 1158, strophes 9



La soif le tenaillait, il était éreinté, fatigué. Cela faisait maintenant plus de trente jours qu'il était dans la lande desséché, ce désert de cendre. Maintenant, il était poursuivi par les infâmes créatures dirigeant ce désert : Haches-Viandes, dinolfos, lézarfos et moblins. Ce n'était pas la première fois pour l'éclaireur qu'une telle situation arrivait, mais c'était toujours déplaisant. Déjà que traversé le mont du péril était déplaisant la lande desséchée l'était encore plus, on ne pouvait qu'avec ses provisions ou ceux que l'on dérobait. Les seigneurs de guerres vivant ici avaient d'autres moyens d'avoir de la nourriture, du bois et de l'eau. Il avait au nord la partie intacte de la lande. Sa cotte de mailles noire, une cape noire la recouvrant l'empêchait d'être totalement visible sur ce territoire. Cela l'avait sauvé plus d'une fois quand au loin un Duin d'une cinquantaine de monstres apparaissait au loin.

Les informations qu'il avait recueillies à Anordan étaient des plus alarmantes, ces êtres gluants avaient arrêté de se battre entre eux et les seigneurs de guerres s'étaient rassemblés. L'on disait que l'Avatar était de retour et rejoignait ses armées. Une telle chose ne s'était pas produite depuis l'ère de la Force et avait quasiment détruit le royaume. Un nombre avait même été prononcé, Ganondorf. Le jeune Tûrin vit Keshing poindre, les étoiles le suivaient. Il se releva de la cendre où l'espion s'était enterré pour cacher son odeur, bordel son odeur! Ces monstres le suivaient à l'odeur. Il n'était plus qu'a deux jours de marches du mont du péril, moblins ne les haches-viandes ne le poursuivront pas sur la montagne.
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Messagepar alinéa » ven. mai 12, 2017 6:29 pm

:super: :super: :super: :super: :super: :super: :super:
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Messagepar Maedhros » sam. mai 20, 2017 1:11 am

L'eau se fracassait sur ses cheveux verts, glissait sur son visage, trempant sa tunique qui passait du vert au vert forêt et lui glaçant la peau. Elle marchait les poings serrés, sous la pluie glaciale. Pourtant la kokiri brûlait pourtant de colère, celle propre aux enfants, arrive pour n'importe qu'elles raisons, car cet imbécile de Link n'était pas encore rentré. Saria l'avait surveillé depuis l'après-midi et même quand les pluies d'automne étaient arrivées, elle l'avait veillé par la fenêtre. Il avait passé toute la journée à l'orée des bois perdus. La jeune fille monta rapidement les petites collines entourant le village, frontière entre la forêt et la clairière du vénérable arbre mojo. Elle le vit enfin, une petite ombre dans l'averse. Le voir ainsi remplaça sa flamboyante rage par un sentiment aux combien plus inconnues d'elle : la peur, froide et glaciale qui paralyse les membres. La kokiri sentit qu'elle pénétrait dans un monde qui n'était pas le sien, ou elle était une étrangère non invitée. Ce que faisait Link n'était pas naturel, il était totalement droit, ne remarquant point le déluge qui lui tombait dessus. Et ce qu'il regardait, au-delà des arbres étaient bien pires que le plus maléfique spectre hantant la forêt. Ombre aussi noire que la mort et aussi glaciale que l'hiver. Elle tourna lentement la tête vers la source de la terreur. Une cagoule de ténèbres, une cape d'obscurité et une présence aussi malfaisante que le Roi Démon lui-même. Saria poussa un crie, d'une terreur de celles qui étaient absolument et profondément humainement inhumaines qui se propagea à travers tout le village et que personne n'entendit. La chose se tourna alors vers la fillette qui regarda alors avec effroi au centre du Mal et y voyait une mort, la sienne. L'être disparut dans le noir, ombres avec les ombres, se fondant le noir souverain des mystérieux bois perdus. Les deux tombèrent par terre, tentant de reprendre leur souffle, comme si on leur avait donné la totalité de leur vie sous leurs épaules. Ils étaient maintenant délivrés de ce terrible charme, mais les deux étaient totalement ébranlés. Dans un silence quasi total, les deux amis se relevèrent et affrontèrent la pluie et le vent pour rentrer dans la tiédeur de l'arbre de Saria.

<<Les Kokiris sont un peuple complètement coupé du monde, vivant dans un recoin perdu des bois perdus. La plupart des écrits sur eux les confondent souvent avec les skull kids. Les quelques récits des explorateurs les ayant rencontrés s'étonnent de leurs mœurs et coutumes. Une qui ne cesse d'étonner les divers explorateurs est que ce peuple si proche de la nature vit pourtant dans le cadavre creux d'arbres géants. Ganfols le bienveillant: premiers sages de la forêt, écrit à ce sujet ¨les fils-vert sont fait: de bois, d'eau et de terre. Qui naît, monte et monte et puis devient vice, pour revenir pousse, ils grandissent en sagesse et deviennent à eau, bois et terre pour revenir en corps terrestre. Les enfants de la forêt croient ainsi que tous sont liés. ¨ Ils habitent dans des troncs d'arbres, car ainsi vivent les animaux, que cela accélère la décomposition de l'arbre pour qu'ils revivent. >> Traité sur les peuples de la forêt, chapitre 7 : les éternels enfants. Écrit par Malon de Kokiri.

Elle avait si froid que sa voix grelottait. Ses vêtements étaient totalement trempés et le froid régnait chez elle. Cela faisait à peine quelques secondes qu'ils rentraient dans son arbre, pour environ une heure sous la pluie. Le feu s'était éteint depuis longtemps. Cette douche froide avait fait oublier aux deux enfants ce qui s'était passé. En fait les deux avaient oublié la présence de l'autre tellement ils avaient froid. Link grelottait sans trop savoir que faire. C'était bien la première fois qu'une telle situation lui arrivait : d'avoir froid sans pouvoir se réchauffer. À chaque année durant les grandes pluies de septembre à octobre, la plupart des kokiris restaient chez eux ou encore jouaient sous la pluie ,pour ensuite rester devant les feux allumés par quelques enfants qui ne voulaient pas s'éclabousser dans la boue. Aucun d'entre eux n'avait passé des heures sous la pluie, sans joyeuse flamme, pour se réchauffer ni amis ,pour jouer !

Saria, avec ses multiples millénaires d'expériences, elle avait vu bien pire qu'une douche froide. La fillette était la plus vieille des enfants de la forêt, elle avait vu les puissants démons, brûlant la forêt. Ce fut sa première mort, massacré par un grand maître des stalfos du temps où ils existaient encore. L'âge des ténèbres où, jouer à cache-cache avec les démons, plusieurs vénérables furent brûlées où couper durant cette période, et elles-mêmes occises plusieurs fois. Pourtant même les ténèbres prirent fin quand furent venus du ciel les nobles hyliens. Ensuite ce fut la guerre noire puis celle des ténèbres, ce fut une centaine d'années très sombres : elle fut tuée au moins une cinquantaine de fois par des hommes aux yeux rouges et des démons de toutes sortes. Elle avait aussi...

-J'ai si froid.

Les grelottements de son ami la ramenèrent à la réalité. Saria alluma rapidement un feu et étendit ses vêtements mouillés pour les faire sécher. Link, s'approcha des chaudes flammes et restèrent ainsi en silence, comme seul sait le faire seules les personnes partageant une si profonde amitié que même l'amour ne peut l'égaler. La lune commença son long déclin vers l'enfer quand la pluie cessa et que la kokiri renvoya le garçon chez lui. Le souvenir de la terreur de la nuit c'était déjà dissiper dans la tête de l'éternel enfant, mais dans ses rêves, la forme revint encore plus terrible, la poursuivant sans relâche. Elle passa une terrible soirée et pleura devant ses cauchemars, elle ne fut point, la seule à passer une mauvaise nuit ce jour-là.
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Messagepar alinéa » dim. mai 21, 2017 3:05 am

Wow elle vraiment bonne et je l'adore je la relis et je trouve ça toujours aussi bon :jap: :jap: :mrgreen: :mrgreen: :super: :super:
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Messagepar Maedhros » dim. mai 21, 2017 2:34 pm

Merci :jap:
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Messagepar alinéa » lun. mai 22, 2017 4:17 am

On peut dire que je suis fan :D :D :D :D :D :D :D :D :D :D :D :D :D de ton histoire
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Re: Vos fanfictions Zelda

Messagepar Maedhros » ven. mai 26, 2017 5:12 pm

Hé, Link ! La pluie chaude et battante coulait à flots, où était-il ? Debout ! Maintenant ! Il N'en avait aucune idée : devant lui ce dressait un gigantesque mur de pierre et au centre une immense rampe de bois. Le vénérable arbre mojo veut te parler ! Les éclairs parsemaient le ciel éclairant vaguement les ténèbres amenées par les noirs nuages de l'ouest. Réveille-toi Link ! La rampe s'écroula, ou sembla, pour le jeune kokiri, s'écrouler du mur sortit un éclair blanc monté par une forme, pur comme l'aurore et avec elle, une ombre aussi noire que les ombres alentour. Oh ! Puis vint le second éclair, petite étincelle de vie insignifiante montée par une silhouette se démarquant par sa noirceur dans la nuit. Tu vas te lever, oui ? Celle-ci sembla le regarder et tenta sa main vers lui, pour, l'attraper au-delà de la mince protection du rêve. La destinée d'Hyrule repose-t-elle sur un garçon aussi paresseux ?

Link se réveilla brusquement, finalement sorti de cet infernal cauchemar. Encore endormit il s'étira lentement, savourant ce délice. Son cauchemar était presque sorti de son esprit, à voir par la porte la pluie s'était arrêtée pour quelque temps et il allait pouvoir sortir, dehors. Une journée à l'intérieur pour un enfant est un vrai calvaire : quoi faire pendant tout ce temps ? C'était une question dont il était le premier à répondre avec des jeux innovants et...

-Non, mais tu vas te grouiller ? C'est comme si l'arbre mojo était en danger, mais oui.

Le kokiri faillit sauter de surprise tant il ne s'attendit pas à cela. Il s'assit rapidement prêt à toute personne lui voulant des noises. Pourtant même Mido avec ses blagues n'oserait pas entrer dans la maison d'un kokiri endormi. D'ailleurs elle était où, c'était bien une fille, où il n'entendait plus! Il remarqua alors la petite boule de lumière qui virevoltait autour de lui. La fée était là, mais où était-elle ? Elle ne pouvait pas être bien loin de la fée, c'était une partie d'elle-même.

-Ah... Enfin debout !

-Heu, mais vous parlez ! C'est incroyable ! s'exclama le jeune garçon tout heureux d'une nouvelle découverte et qui tenta le bras pour l'attraper.

-Mais oui je parle ! Non, mais tu me prends pour une de ces vulgaires lucioles qui se tiennent à côté tes amis. Ouille et arrête de faire ça, tu vas m'abîmer mes ailes.

-Désolé, et vous venez pourquoi, madame la fée ?

-Moi, c'est Navi, et je ne suis pas une dame, mais une fée...UNE FÉE. Alors, appelle-moi plus madame et...

Elle était énervante cette luciole et prétentieuse. Pourtant le jeune kokiri était inquiet et surtout curieux. C'était la première fois qu'il entendait une fée parler et seule en plus! QU'avait -elle dit déjà sur l'arbre mojo? En avait-elle parlé ? Peut-être. Après quelques minutes Lin se résigna à poser la question à ce désagréable personnage.

-Désolé, madame la fée heu Navi, mais qu'est que vous me voulez ?

-Ah, enfin il parle ! Le vénérable arbre mojo m'a désignée pour être ta partenaire.

Link bondit de son lit. Et se mit à danser autour de la table centrale de la maisonnette. Une petite danse de la joie des enfants tout heureux et contents et surpris de l'être. En dansant il cria et ria :

-Pour être ma partenaire, mais ces formidables, je vais être une kokiri, un vrai de vrai !

-Non, mais ta rien ne comprit de ce que je dis, je ne suis pas une luciole, le vénérable arbre moto veut te voir alors suis moi !

La fée repartit en dehors de la maison, Link la suivit, après avoir pris son fidèle lance-pierre. Il l'avait taillé l'année dernière durant les grandes pluies d'automne et avait épater tous les kokiris avec, même Mido, fait rare et précieux que de pouvoir le surpasser sur quelque chose. Saria arriva en ce moment-là. Gambadant-elle, elle venait le réveiller, mais elle eut une double surprise : il était déjà réveillé et surtout, il avait une fée. La jeune fille fut tout émerveillée et heureuse. Link porta alors attention à la végétation tout autour : il était finalement un être de la forêt et, mais l'herbe elle était toutes brunes, ces champignons remplit de moisissure, et les arbres tous pourris. Quelque chose n'allait pas. !

-Sa...Saria, je... la forêt, elle...elle est étrange.

-Oui, effectivement, elle semble en train de mourir.

-Non, mais c'est ce que je vous hurle depuis tantôt ! Et vous en train de gesticuler sur votre nuit, mais on s'en fout ! L'arbre mojo est en train de mourir alors grouiller vous et suivez-moi !

Navi s'envola vers l'est de la clairière où trônait le seigneur des Kokiris, poursuivit par un petit blondinet. Son amie se précipita plutôt à la grande, l'énorme maison du plus arrogant, du plus infâme, du plus détestable des kokiris, celui qui se présentait comme le chef des enfants verts après l'arbre mojo : Mido, le roux. Deuxième, plus vieux des fils de l'arbre. Ce n'était pas un grand ami de Saria, mais si le vénérable était en danger, Mido était le mieux apte à le protéger, gardien de l'épée kokiri et kokiri d'expérience, il était beau parleur et rassembler la kokirai sous les armes contre cette nouvelle menace.

Ses jambes volaient, enjambant la courte distance entre le village et la clairière. Il courait vers le plus mortel des dangers alors que les kokiris se rassemblaient la plupart se souvenant de L'Invasion et cherchait bâtons et bouclier pour protéger leur père, pourtant ce fut le plus jeune d'entre eux qui atteignit finalement l'est de la clairière. Trônait au centre de l'ouverture des arbres, un immense chêne si haut qu'il faisait penser aux célèbres séquoias des massifs blancs comme des enfants, aussi large qu'une montagne ,et pour tout être vivant, inspirait le respect et la sagesse d'un être vieux de plusieurs ères. L'arbre était en fait un être vivant, véritable mystère biologique, de première vue c'était de son visage un être vieux et dans ses yeux se voyait la sagesse de plusieurs millénaires, mais cette impression de sage isolé était pourtant fausse et mojo était porté facilement par le rire et alors sa moustache de lierre bougeait d'une t'elle manière que Link était toujours porté au rire avec lui.

Pourtant aujourd'hui, il n'abordait aucune joie, il semblait presque peiné et souffrant. La petite fée s'approcha de lui, et pour la première fois, n'utilisa ça pas, sa voix de folle, mais était remplit de respect envers cet être si intimidant.

-Vénérable arbre mojo. Je suis de retour. Je vous ramène le jeune garçon.

Oh...tousse tousse tousse...Navi...tousse tousse tousse...enfin de voici...tousse tousse tousse. Link...tousse tousse tousse... sois le bienvenu...tousse tousse tousse.

Link fut choqué, son père parlait lentement avec une énorme difficulté, comme si parler lui faisait mal, et cette toux comme lui quand il était enrhumé. Pourtant le vénérable était le vénérable : il ne pouvait pas être atteint d'une grippe ! D'ailleurs ses feuilles jaunissaient, alors que, même au plus fort de l'hiver, père restait vert.

-Père, allez-vous bien ? cria-t-il finalement à l'arbre. Êtes-vous enrhumé ? Vous devriez faire un feu pour vous réchauffer. Bien que vous soyez un arbre alors euh, je suis vraiment désolé si je vous suis offusqué.

Celui-ci sourit faiblement avant que son visage revienne crispé par la douleur, il parla alors d'une sèche.

-Écoute-moi, bien jeune enfant...tousse tousse toussse...moi, l'arbre mojo va te révéler la sombre vérité !

Ces paroles troublèrent le kokiri, que se passait 'il ? À plus profond, de son âme un son de cloche résonnait ; son monde allait bientôt tomber, un pas de plus et le doux rêve d'enfance allaient s'estomper pour un monde bien plus sombre que ce qui était maintenant. Pourtant, une force résidait dans le garçon qui lui permit de rester et d'entendre les sombres paroles de son paternel.

-Ton sommeil, depuis plusieurs lunes, est tourmenté par d'épuisants songes et de terribles songes. Alors que les forces obscures grandissent, une aura maléfique s'étend sur le monde, pervertissant nos rêves de sombre présage ! Et toi aussi jeune enfant, tu as ressenti cette infamie.

-De quoi parlez-vous père ? Ténèbres, rêves et mal ! Vous me racontez une histoire ?

-Non, au non ce n'est pas un conte ! Link...tousse tousse tousse... le temps est venu pour toi de mettre ton courage à l'épreuve... tousse tousse tousse... je suis l'emprise d'une odieuse malédiction ... tousse tousse tousse... pour me libérer, j'ai besoin de ta vaillance et de ton courage.

-Je vous libérerai, père, cela ne devrait pas être difficile.

L'arbre mojo ouvrit alors grand sa bouche Link, puisa, alors en lui tout son amour pour son père, pour la forêt et pour ses frères et sœurs et courut à l'intérieur de son père, le vénérable commençait à fermer sa bouche quand une minuscule forme verte courut vite comme l'éclair et réussit à s'infiltrer dans lui.
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Re: Vos fanfictions Zelda

Messagepar Maedhros » ven. juin 02, 2017 10:39 pm

Chapitre 3 : De Link et Ghoma
Une brève lumière provenant de l'extérieur qui se referma. Maintenant, des ténèbres vivantes l'entouraient. Heureusement, sa fée émettait une petite lumière qui se perdait quelques pas devant lui. Il se mit à avancer, mais du rapidement s'arrêter, car une chaleur étouffante régnait dans l'arbre et le jeune kokiri enleva rapidement son bonnet. Il prit une grande respiration et s'avança dans le noir. Il s'inquiétait pour Link, le jeune imprudent était sans doute encore plus perdu que lui, s'en fée pour l'éclairé sans armes et totalement inexpérimenté dans ce genre de situation, en fait à bien y réfléchir il n'avait juste aucune expérience. Quand Saria était venu le voir, ils avaient ressorti l'antique épée des kokiris et il s'était précipité vers l'Arbre pendant que la fillette annonçait la nouvelle aux jeunes.
Il recommença à marcher en frôlant le mur d'écorce de sa main. Cela faisait à peine neuf années que l'épée kokiri était rangée, après que des créatures maléiques excitées par la guerre avaient tenté de traverser la forêt pour rejoindre au-delà des bois. Les kokiris avaient dû perdre une partie de leur enfance pour défendre l'arbre mojo. Maintenant, ça recommencerait, eux qui voulaient vivre en paix subissaient guerre après guerre, Saria était la meilleure preuve de cela. Il sentit sur sa main une substance gluante et froide et s'arrêta. La petite lumière de sa fée révéla des toiles devant lui, recouvrant les murs et le sol. Immense piège destiné à quelques abrutis nourrissant un monstre ou des monstres. Mido fut pris de peur pour l'ami de Saria et une vague d'amitié refouler vient à lui et il cria malgré le danger et la noirceur.
<<Link? Où es-tu espèce d'imbéciles ! Pour te mettre dans la merde comme tu le fais si souvent il faut avoir une tête de noix.
–Mido ? Je suis ici, n'approche pas. Il y a une toile d'araignée. Lui répondit une petite voix dans le noir. Le soulagement de Mido fut grand et il eut les idées claires et retombées dans l'angoisse, car la voix de son ami venait de la toile.
–Idiot ! Comment peux-tu être si aveugle, et maintenant comment fais-je pour te libérer ? >>
...
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Re: Vos fanfictions Zelda

Messagepar Maedhros » jeu. juil. 06, 2017 2:37 am

Link soupira, la grande question, pourquoi père l'avait envoyé ici plutôt que Mido, au premier pas il sait fait prendre ! Il commençait à regretter la présence de Navi, un peu de lumière ne serait pas de refus. Son visage rond face contre le vide seul les ténèbres l'accompagnaient. Le trou ! Que pouvait-il bien faire avec un trou ? La toile ! Impossible de bouger. Mais s'il tombait peut-être qu'il pourrait se délivrer de la substance gluante.
- Mido, si tu coupais la toile ? demanda-t-il, au risque de passer pour un débile. Ce fut après un profond silence de réflexion que son rival accepta.
– Il faudrait voir ce qu'il y a en bas.
Une petite lumière perça alors l'obscurité et rejoignit la fée du Kokiri. La colère monta en le jeune garçon quand il vit cette étincelle qui s'est lâchement enfui revenir, peut-être avait — elle entendu la voix de Mido et décidée qu'ils avaient une petite chance de survivre.
–Link, c'est toi ? Je t'avais perdu de vue. Dit-elle de sa voix la plus serviable ?
–C'est qui elle. Demanda Mido, totalement abasourdi. Ta fée Link ! Qui parle !
–Ouais, j'ai une fée maintenant, et elle est même mieux que vous.
–Tais-toi ! je ne suis pas un objet pour la gloire d'un garçon au combien immature !
–Elle a un certain... caractère. Et la fée va dans le trou voir ce qu'il y a. ordonna, Mido habituez de ce faire obéir
— et pourquoi tu ne vas pas toi-même vulgaire enfant. J'irai, mais c'est bien pour passer du temps sans vous.
La lumière disparut aspirer par les ténèbres de l'abîme. Le temps s'écoula alors inexorablement lentement pour les deux enfants. Que se passerait-il si le néant s'étendait sans fin ? La noirceur, pire peur d'un enfant, les entourait, les empêchant de réellement réfléchir ou de réagir normalement. Après de longues minutes, la petite lueur revint percer l'obscurité.
–Le trou n'est pas profond et au fond il a un lac, si vous voulez descendre, cela devrait tout de même bien se passer.
Quelques minutes plus tard, il tomba. Ce fut à l'instant que son plan se révéla mauvais, car la toile continua de l'enserrer et il tomba finalement dans l'eau incapable de bouger. Il se débattit, mais la mort se rapprochait petit à petit alors que l'air voulait sortir de ses poumons et lui brûlait le corps. Il sentit alors deux mains sur son corps et on le souleva. Il put alors respirer et se réjouit du goût de l'air dans sa bouche. Un puissant plouf retentit pour et le liquide laissa place à la tête de Mido. Heureusement pour eux qui savaient nager, le fond du lac était bien profond, mais leur petite baignade dans la rivière parcourant le village l'été servait peut-être à quelque chose.
Qui donc l'avait sauvé, ce ne fut pas la question du moment, car maintenant, les deux enfants découvraient le froid glacial de l'eau ? Elle s'infiltrait dans leur vêtement et sa longue main de glace s'infiltrait sous leur vêtement, sous leur peau pour geler leur os. Ils ont donc rapidement gagné la berge du lac. Et ce fut là qu'ils remarquèrent qu'ils n'étaient plus dans l'arbre mojo, mais bien dans une grotte sous celui-ci. Contrairement à l'intérieur de leur père, où la chaleur était effrayante, ici l'air était humide et glacial.
Cela ne prit donc que peu de temps avant qu'ils se mettent à bouger et à être remarqués par elle. Elle était la cause du mal en la forêt. Accrocher au plafond de la grotte, elle y pondait les œufs qui allaient s'attaquer à l'arbre. Un insecte géant s'attaquant au roi des arbres. Les deux kokiris parcoururent rapidement la cavité, Link se sentait comme un étranger : enfant du soleil, il n'était nullement habitué à fouiller les cavernes et de plus il avait comme l'impression qu'une chose les observait cacher dans l'ombre. La peur l'obligeait à ne pas scruter dans les ténèbres du plafond et voir l'iodeuse monstruosité qui y veillait. Pourtant il combattait l'ombre qui s'étendait dans son cœur et sa vaillance fut grande, car l'innocence de l'enfance devant le malin doit plier le genou et être engloutit pour que disparaisse toute trace de l'enfant ou se levé et se battre pour qu'une partie au moins reste dans le cœur. Ce fut ainsi que lentement il leva les yeux et vit alors l'énorme insecte qui les fixait de son œil de feu. Même dans les ténèbres il vit l'énorme masse de la bête tombée du sol.
^^Viens démon, jamais tu ne pourras vaincre le roi des arbres ! cria Mido qui s'avança alors et tenta une pointe dont l'agile monstre recula évitant l'acier.
L'insecte se leva pour écraser ce vulgaire étranger de son énorme masse. Pourtant la petite chose verte l'évita facilement et se remit à piocher sur sa solide carapace. Il se retourna pour lui faire face son œil rivé sur cette misérable créature quand une douleur vive l'atteint et il commençait à sombrer.
^^ –Mido, son œil ! cria Link, dont Navi venait de commenter la stupidité des gestes de son compagnon.
Link ayant alors et soudainement allumé, car la peur avait entravé sa réflexion et sa connaissance sur les insectes était faible, contrairement à la plupart des kokiris. N'ayant pas d'armes il avait pris son lance-pierre, une pierre de petite taille à ses pieds et visé l'œil en flamme du monstre, il ignorait alors que son jouet favori était une véritable arme dont certain peuple des marais de Tabanta utilisaient pour combattre des tributs rivaux. La pierre aveugla la créature et le porteur de l'épée kokiri la planta dans l'œil. La douleur réveilla la monstruosité, car l'acier n'avait pas réussi à la faire passer au trépas et maintenant aveugle et sentant sa vie menacée, la créature remonta au plafond et commença alors à assurer sa descendance. Des œufs tombèrent au sol et éclatèrent pour laisser place aux araignées cyclope qui les avaient déjà menacés au paravent. Link tira et comme tous animaux le savaient, les kokiris visent toujours juste, car leur vue est perçante et leur jeu de tir de pierre peut devenir utile en temps sombre. Il toucha donc l'œil des enfants du démon alors que son ami se précipita sur eux et perça le second de part et autres. Le dernier sauta sur le plus proche des kokiris qui tomba à terre et réussit à balayer la créature qui mourut d'une pierre dans l'œil. Les deux enfants de la forêt relevèrent la tête, mais n'y virent que les ténèbres, car le monstre si bien cacher ne pouvait être vu sans lumière. Ce qui les sauva de la mort fut un bouger ! De la petite fée accompagnant Link, car le démon était en furie comme une mère ayant perdu ses enfants, car telle était le cas. Elle tenta d'écraser ces assassins, mais l'aveuglante lumière la vit et ceux-ci reculèrent, la laissant ainsi tomber dans sa colère. Celui tenant le brillant acier s'avança, elle allait rejoindre sa progéniture, pensa-t-elle avant que la grande faucheuse la frappe.
Le corps du monstre s'enflamma de la flamme infernale, rejoignant ses frères, les démons dans leur éternel tourment. Les deux enfants regardèrent en silence la créature brûlée, les deux étaient pris dans leur pensée alors que l'adrénaline tombait et qu'ils voyaient la chance d'être en vie. Une main les agrippa alors et avant qu'ils puissent se retourner, elle les transporta en dehors de l'espace et du temps pour les faire revenir devant l'arbre mojo.
Le vénérable les regarda avec stupéfaction, comment avait-il pu ainsi revenir et douta de la réponse. Pourtant sa joie de revoir Link et Mido en vie fut grande, car il avait réussi l'épreuve, prouvant que Link était digne de sa destinée.
^^Félicitation Link et Mido. Les salua-t-il.
–Je suis honoré de vos remerciements. Dis Link coupant la parole à l'arbre.
Les deux enfants étaient cotés à côté devant le grand chêne se tenant le dos droit, fier comme des coqs des rares compliments du vénérable.
– Link, tu as fait preuve de courage et de sagesse.
–Père, ce n'est pas moi qu'il faut féliciter, mais bien Mido, il a réussi à vaincre le monstre vous tenaillant et m'a sauvé plus de fois la vie par mon imbécillité, je regrette de la dire.
–Link, pauvre bougre, arrête de te penser honorable et regarde-le, son état, c'est empiré, il ne fait que semblant. Lui récita dans l'oreille la petite étoile qui volait près de lui.
–Mido, tu te révèles encore une fois digne de l'estime et de la confiance de tes frères... tousse tousse tousse...
- Père, nous vous avons guéri, irez-vous mieux ? demanda le jeune guerrier remarquant alors la santé défaillant de l'arbre.
Celui-ci éclipsa la question, car non, il n'irait pas mieux, le gohma l'avait dévoré de l'intérieur, lui mangeant sa sève et lui faisant de mortelles blessures. Il se forçait pourtant en ses derniers instants de vie de rester haut et fier et de ne pas plier devant l'immense douleur, un danger bien grand menaçait le monde au-delà et le garçon devant lui devait le savoir. L'heure de l'enfance avait pris fin pour lui, et il devra accepter son destin pour le monde.
–J'ai encore bien des choses à vous dire, voulez-vous bien écouter ?
–Une histoire, géniale ! Oui, nous le voulons père. S'écria Link tout content, car rare était les fois où l'arbre mojo étendait son savoir, les jours de fête à peine.
Mido, quant à lui resta silencieux, se demandant ce qui se passait, qui avait bien pu tenter de tuer son père ? Pourquoi ? Et surtout, il se posait des questions, car il sentait que derrière cette sérénité de l'arbre était un masque.
–Mainteant... tousse... tousse... tousse... écoutez-moi bien. Un vil cavalier du désert m'a infligée cette terrible et odieuse malédiction.
Le chef des kokiris sursauta : comment père le savait-il, mais n'avaient rien dit à ses enfants ? La colère commença alors à gronder, voyant le jeune Link arrivé, c'était, le nouveau à peine neuf ans qu'il était dans la forêt et depuis tous allaient mal, les invasions ayant précédé sa naissance et maintenant ce coup horrible portée à la forêt. Et père qui cachait des choses...
–L'homme maléfique ne cesse de faire appel à ses sombres pouvoirs pour trouver le Saint-Royaume relié à Hyrule.
Des images inconnues vinrent à Link durant ses paroles, des flammes inondant une cité blanche durant une nuit noire de lune.
–Car dans le Saint-Royaume sommeille la divine relique, la Triforce renfermant des pouvoirs comparables à ceux des dieux... tousse... tousse... tousse.
L'image changea et laissa place à un vide infini qui laissa lui-même place à une pluie d'or dont chaque goutte remplissait le néant.
–Avant le début des temps, avant que vie et esprit existent... tousse... tousse... tousse. Trois déesses d'or et de lumière descendirent sur l'amas chaotique qu'étais Hyrule... tousse... tousse... tousse.
Link vit les trois grandes descendre sur Hyrules comme des étoiles filantes. Leur corps était d'or et scintillait d'une lumière si vive qu'il faillit en perdre la vue. La première était de flamme et brûlait comme un feu infernal. La deuxième était calme et sereine comme un lac sans vent et la troisième respirait à elle-même le vent et l'humidité des grandes forêts.
IL y avait Din, déesse de la force... tousse... tousse... tousse. Nayrus, déesse de la sagesse... tousse... tousse... tousse et Farore déesse du courage... tousse... tousse... tousse.
Il vit du chao, se former la terre rouge et stérile, puis il plongea à l'intérieur toujours plus profond juste qu'a arrivé à l'infiniment petit et de voir des particules volées comme dans le ciel et remonta si loin qu'il vit l'infiniment grand où les étoiles étaient des boules de flammes, minuscule lueur dans la demeure des ténèbres, avant de revenir à la terre rouge et stérile, mais qui ne l'était plus et là il voyait les forêts, les lacs et les montagnes ou la vie transpirait-elle une bête en chaleur.
–Din... tousse... tousse... tousse... de ses bras enflammés elle sculpta le sol et créa la terre rouge. Nayru... tousse... tousse... tousse... elle inonda de sa sagesse la terre et apporta l'ordre et la loi sur ce monde. Farore... tousse... tousse... tousse... de son âme infinie, elle donna vie aux êtres issus de la loi.
Sa vision changea, il revient à la pluie d'or d'où il vit les trois déesses repartir dans un rayon de lumière si intense qu'il fut aveuglé et quand la vue lui revient il la vit : la Triforce
–Les trois déesses leur œuvre accomplit, s'en retournèrent vers les cieux, leur départ fit alors apparaître trois Triangles d'or seuls vestiges de leurs pouvoirs. Depuis, les triangles sacrés symbolisent l'essence de notre création. Et depuis ce jour, le Saint-Royaume est le berceau des triangles de justices.
Le rêve le quitta et il vit le pâle visage de l'arbre.

–Tu ne dois surtout pas laisser l'homme du désert en armure noir s'approcher de la Sainte Triforce... tousse... tousse... tousse.
Père ? Votre... visage... il est tout pâle ?
–Et tu ne permettras pas jamais que cet homme au cœur si mauvais puisse s'immiscer dans le très Saint-royaume des légendes.
La colère de Mido était-elle un brasier, il voyait la grande faux s'approcher de son père qui continuait à parler à cet imbécile, cela faisait deux fois qu'il se rembobinait la tête pour une solution, ils avaient pourtant tué la bestiole ! Mais la mort se rapprochait du gardien des arbres.
–Ce vil chacal m'a jeté cette malédiction infecte et mortelle pour saper mon pouvoir. Ce sort si néfaste me promet un trépas imminent.
–Père ! Que pouvons-nous faire, il y a sans doute un moyen ? s'exclama un jeune Link totalement affolé par l'annonce de la mort de son père.
–Malheureusement, même si vos valeureux efforts ont eu raison du maléfice. Mon destin est scellé depuis le début... tousse... tousse... tousse... hélas je ne peux m'y soustraire : le moment fatal est proche... tousse... tousse... tousse... mais ne te lamenta pas sur mon sort. Je t'ai transmis mon savoir, tu connais la vérité maintenant, mon rôle s'achève ici. Tu es le dernier espoir d'Hyrule !
–Père, vous n'allez pas mourir. Vous ne pouvez pas ! La forêt dépend de vous. Vous empêchez les mauvais esprits de venir dans notre village. Que va-t-il nous arriver ?
–Link... tousse... tousse... tousse. Va au château d'Hyrule... tu y rencontreras la princesse de la destinée... tousse... tousse... tousse prend cette pierre... elle est la cause de la malédiction jetée sur moi par l'homme sombre.
Une racine de l'arbre se relava et déposa dans les mains tremblantes de tristesse de Link une magnifique émeraude verte bordée par le symbole des kokiris, une spirale, représentent le cycle de la vie, en or
–La destinée du monde dépend de tes actes, Link... tousse... tousse... tousse... tu es courageux et vaillant.
Pour Mido Link semblait rester de marbre devant la mort de père, et cela fit grandir une haine immense envers le jeune garçon, l'arbre l'avait éduqué quand elle... et lui refusaient tout cela un insensible qui avait amené la mort dans la forêt. Il lui remit pourtant l'épée kokiri quand père fit sa dernière demande en offrant à l'enfant un regard veineux. Quand il vit père mourir sa colère fut-elle qu'il sauta sur le jeune homme et l'ingéra de coups jusqu'à ce que son adversaire saigne. Cela lui causa un grand choc, car c'était la première fois qu'un kokiri blessait ainsi un autre et pouvait augurer les pires malheurs à leur peuple. Ruisselant de larme il lui cria :
Va tant, par loin d'ici, en dehors de ces forêts !
Son compagnon hésita, tenaillé entre son désir de resté dans le village chez lui et de partir, par peur de voir ses frères le haïr, pars colère envers se cavalier noir qui avait tuer son père, car non il n'avait pas été insensible, mais tellement secouez. Il quitta le village ne prenant comme qu'un simple bouclier en bois de son enfance, son lance-pierre et l'émeraude. Le trajet le plus court pour quitter la forêt passait par un pont qui surmontait un précipice, ce fut là que Saria l'attendit. Elle le vit traverser le pont sans même la remarquer, ou peut-être l'ignorer. Elle l'interpella :
Oh... alors tu pars... déjà... sa voix récitait toute la tristesse, car comme toi les enfants de la forêt, elle avait senti la dure lance mortelle et des flots de larmes auraient peu coulez, mais non, pas elle, car au fond de son cœur, une voix lui récitait que son père reviendrait, car t elles étaient les lois de la nature, leur symbole était une spirale, quasiment un cercle.
Link se retourna les yeux mouillez par le chagrin, la première mort était toujours la plus terrible. Il se rapprocha honteux. Il n'a même pas une journée, fière d'être convoqué.
–Mido m'exile. Dit-il difficilement. Saria le prit dans ses bras et lui répondit.
– j'ai toujours su qu'un jour... tu quitterais la forêt, Link. Je suis sûr que la décision de Mido n'est pas totalement de lui. C'est t'as destiné, tu es différent de nous, peut-être pas maintenant, mais tu le sauras, et un gouffre immense s'ouvrira entre nous.
Les larmes jaillirent de Link, car il sentait que cette séparation n'allait pas être suivie d'une rencontre avant très longtemps.
–Saria, tu es mon amie, ma seule. Je ne peux pas t'abandonner, les spectres et autres mauvais esprits vont s'abattre sur nous.
–Ce n'est pas grave, Mido nous protégera... Oh Link, nous serons amis pour toujours... n'est-ce pas ?
–Saria, un kokiri ne peut pas vivre en dehors de la forêt, comment vais-je faire.
Elle le repoussa gentiment et sortit d'une petite bourse un ocarina rose pâle.
–Je veux que tu gardes cet ocarina, je l'ai fabriqué comme cadeau pour la Norte, mais... tu ne seras pas, mon amitié te protégera en dehors des bois. Prends-en grand soin !

Link renifla et nettoya ses larmes.
–Je n'ai aucun cadeau à t'offrir, je me prends toujours trop tard pour la Norte.
–Je sais Link, pense à moi en jouant de l'ocarina, et un jour... peut-être, tu reviendras me voir.
Le jeune garçon se détourna et courut, loin... loin, car malgré le soulagement d'avoir pu dire au revoir à Saria. La tristesse était encore là, plus forte et derrière elle venais une colère froide et un désir de vengeance dot aucun enfant ne devrait être accablée.
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Messagepar alinéa » ven. juil. 07, 2017 5:08 pm

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