Joker : Folie à Deux

[Náin]

Rien compris.

[Bombur]

Tu n'es donc pas un homme de culture .

[Scarabéaware]

Magnifique cette capture, oh c'est génial, ça inclura une scène

[Bartiméus]

La blague c'est que c'est Captain Obvious l'info ?

[SauronGorthaur]

La blague c'est que c'est Captain Obvious l'info ?

je crois aussi

[Náin]

Mais vous vous doutez bien qu'elle est coupée la phrase là

[Scarabéaware]

Diantre, sacrebleu, tu crois ça ?

[Náin]

bah non mais du coup il y a pas de blagues...

bref.

[Bombur]

Non, rien à voir avec la notion d'évidence, c'est juste une blague absurdiste. Dans la même veine que le fameux dans la même veine que le fameux "we live in a society" ou "it truly is one of the movies of all time" En parlant de Morbius XD .

[Scarabéaware]

Un peu de nouvelles pour ce film qui devrait sortir en octobre.

https://www.huffingtonpost.fr/culture/a ... 27526.html

« Joker : Folie à deux » : Lady Gaga et Joaquin Phoenix se dévoilent dans de nouvelles images

Le réalisateur Todd Phillips a dévoilé sur son compte Instagram un nouvel aperçu de « Joker : Folie à Deux », second volet des aventures de l’ennemi de Batman attendu en salles le 2 octobre 2024.

Dans la première, Joaquin Phoenix, de retour dans son rôle, se trouve dans sa cellule à l’asile d’Arkham. Souvenez-vous, lors de la scène finale du Joker, Arthur Fleck y avait été incarcéré après avoir assassiné le présentateur Murray Franklin (Robert De Niro) en direct. Le second volet de la saga reprendra sûrement après ces événements.

Dans la seconde, Lady Gaga, qui incarne le docteur Harleen Quinzel alias Harley Quinn, se tient aux côtés de Joaquin Phoenix. La scène semble se passer en dehors des murs d’Arkham, donc après la fuite du couple.

Suite dans l'article.

[Scarabéaware]

Une petite affiche pour le film en attendant la bande annonce .

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[Scarabéaware]

Et voici que débarque la bande annonce .

[SeliCat]

Sur l'affiche : The world is a stage, the stage is a world of entertainment ! Tous en scène

Et la chanson de la B-A est très célèbre

Sinon, je verrai ce film uniquement pour Lada Gaga

[Scarabéaware]

Ah oui tiens, c'est déjà pas mal pour ces références .

Puis d'accord, t'aimes pas Joaquin Phoenix autrement ?

[SeliCat]

Les références, c'est ce que ça évoque pour moi

J'ai pas aimé le film JOKER

[Scarabéaware]

C'est quoi qui t'avais déplu : viewtopic.php?f=636&t=19219&start=600 ?

[SeliCat]

21 pages sur le film JOKER, peux pas tout lire pour l'instant

Je l'ai vu qu'une fois mais pour résumer : trop copié sur La Valse des pantins + j'aime pas le jeu de J. Phoenix dans ce film

Je pourrais peut-être développer dans le topic approprié une fois que j'aurai revu le film

[Scarabéaware]

D'accord, oui c'est sur que ça reprends énormément pas rapport à ce film mais bon malgré tout ça parvient à s'en démarquer je trouve, on est pas dans du pur plagiat.

Bon puis oui si tu revois, ça te rafraichiras bien la mémoire comme ça pour mieux en parler .

[SeliCat]

acteur.jpg

Comme c'est son prochain film, je partage ici

Joaquin Phoenix - Un acteur possédé

https://www.arte.tv/fr/videos/111643-000-A/joaquin-phoenix-un-acteur-possede/ (Disponible jusqu'au 10/08/2024)

De "Walk the Line" à "Joker", de la mort de son frère aîné River Phoenix au documentaire-canular "I’m Still Here", ce portrait retrace la carrière ascensionnelle et la biographie tumultueuse d’un acteur magnétique, farouche défenseur de sa vie privée et des animaux.

Rejeton de la contre-culture américaine, Joaquin Phoenix, né en 1974, a grandi dans une famille hippie, artiste et mystique. Missionnaires pour les Enfants de Dieu, ses parents trimballent leur progéniture en Amérique du Sud. La fratrie se produit dans des spectacles de rue au profit de la secte. Revenue à la vie normale, la famille est sans le sou. Joaquin, alors enfant, et son frère River, star adolescente, tournent à Hollywood pour subvenir à ses besoins. En 1993, la mort de l’aîné, d’une overdose, déclenche une surenchère sensationnaliste qui amplifie le chagrin d’une famille déjà éprouvée et vaccinera Joaquin contre la tentation de s’épancher dans les médias. Paradoxalement, le jeune homme revient au cinéma, dont il s’était éloigné à l’adolescence. Se sent-il obligé de faire vivre sa famille, maintenant que son frère a disparu ? Six mois après la mort de River, il tourne dans Prête à tout, sous la direction de Gus Van Sant, et fait une apparition remarquée en adolescent lascif, manipulé par le personnage d’ambitieuse joué par Nicole Kidman. Deux films lanceront véritablement sa carrière : Gladiator de Ridley Scott, où il endosse le second rôle sous les atours livides de l’empereur Commode, et le biopic Walk the Line de James Mangold où il incarne à la perfection l’icône country Johnny Cash, trouvant l’attitude et les intonations justes, y compris au micro.

Fragilités assumées
Par sa présence charnelle, l’intensité de son jeu et la façon obsessionnelle avec laquelle il prépare ses rôles, Joaquin Phoenix fait forte impression, qu’il joue un Jésus enroué et empathique dans Marie Madeleine, un malfrat bourrelé de remords dans La nuit nous appartient, un hipster technophile dans Her ou un tueur maniaco-dépressif dans Joker, performance qui lui a valu l’Oscar en 2020. Extraverti mais discret sur sa vie privée, ce farouche végan depuis l’enfance se sert de sa notoriété pour défendre les droits des animaux. À travers un cocktail d’archives, d’extraits de films et d’interviews, ce portrait retrace sa trajectoire et dévoile un pan de sa biographie mouvementée, montrant comment l’acteur a nourri son art en assumant ses fragilités. Le documentaire explore aussi son rapport compliqué au cinéma, tiraillé entre contrainte et passion, et aujourd’hui plus apaisé. Joaquin Phoenix s’est d’ailleurs autorisé une sortie de route en 2009, prétendant tout plaquer pour se lancer dans une calamiteuse carrière de rappeur, une parenthèse relatée dans le documentaire I’m still Here de son beau-frère Casey Affleck. Toquade ou mise en scène ? Le documentaire ne tranche pas, laissant à la star sa part de mystère.

Réalisation : Tom Ehrhardt
Pays : Allemagne
Année : 2023

[Scarabéaware]

Oui ça ira bien là, merci Sélicat .

[Scarabéaware]

D'autres photos en attendant la sortie le 4 octobre.

https://www.comicsblog.fr/48631-Joker__ ... d_Phillips

[Scarabéaware]

Ça a pas totalement convaincu à la Mostra de Venise.

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... s-mitigees

Le pas de deux de Joaquin Phoenix et Lady Gaga n'a pas séduit outre-mesure à la Mostra de Venise.

Visiblement, ce Joker n'est pas un As... Alors que le film de 2019 avait fait craquer le monde entier, jusqu'à se frayer un chemin jusqu'aux Oscars, la suite aura visiblement du mal à faire aussi fort. Joker 2 a fait ses débuts mercredi soir à la Mostra de Venise et les critiques présents dans la salle sont sortis très divisés.

Celui d'IndieWire a été le plus virulent, estimant que ce Joker : Folie à Deux a l'air d'être "volontairement mauvais". Le papier assassine : "Cette suite atrocement - peut-être même délibérément - ennuyeuse fait tout ce qui est en son pouvoir pour ne pas nous amuser" et pense le "cinéma populaire comme une forme de punition collective". Il juge aussi que Todd Phillips n'a pas su tirer partie de son casting, notamment Lady Gaga dans le rôle de Harley. "En théorie, cela semblait une idée délicieusement chaotique de troller le public en présentant Lady Gaga comme la partenaire de folie du Joker... Mais pourquoi ensuite la reléguer sur la touche pendant la majeure partie de l’histoire au profit de scènes de procès sans fin, qui ressassent littéralement les événements du film précédent ?"

Le journaliste anglais du Guardian a trouvé que le film "partait en vrille et perdait le fil", dans une approche aussi "stridente et laborieuse, voire carrément ennuyeuse, un peu comme le premier film". Il trouve que les touches musicales apportent quand même quelque chose de plus, mais selon lui, cette suite "n'examine rien de plausible, de triste, de drôle ou d'inattendu" à propos du Joker.

Alors creux et vide de sens ? C'est un peu le sentiment aussi du critique de la BBC, qui trouve "le résultat ennuyeux, décevant et inutile". Son collègue de Variety résumait finalement : Joker 2 a perdu la puissance du premier et d'une certaine manière, le rend moins intéressant et moins percutant : "Ce que nous voulions voir dans Folie à Deux, c'est l'histoire d'Arthur, ce maniaque ordinaire qui, en embrassant son identité de Joker, transcende qui il est. La déception vient du fait qu'il nous fait trop peu ressentir cela. Il y a beaucoup de scènes avec Arthur déguisé en Joker, se défendant dans la salle d'audience, chantant ceci ou cela, et parfois dans des numéros fantastiques qui pourraient presque se dérouler dans sa tête. Mais sa présence n'amène plus aucun danger. Il n’essaie pas de tuer quelqu’un et il ne mène pas de révolution. Il chante et (parfois) danse simplement pour se faire une place dans son rêve de Joker."

Toute la presse n'est pas aussi cinglante. On peut lire dans Deadline que le film est "un brillant retour musical dans un monde de folie (...) où se croise la fantaisie musicale à l'ancienne et la violence du monde réel", soulignant à quel point Lady Gaga a su être "intelligemment discrète" dans son interprétation de Harley, très différente des performances précédentes de Margot Robbie. Dans le Hollywood Reporter, on mentionne aussi le flair musical de Joker 2 : "Ces numéros musicaux, à la fois en duo et en solo, donnent une vitalité dont ce film, souvent austère, a désespérément besoin". Car dans le fond, il écrit que cette suite est "frustrante" et "inégale".

Malgré tout, Joker : Folie à Deux, qui sortira le 2 octobre prochain au cinéma en France, sera sans aucun doute un carton au box-office. Le premier volet avait rapporté 1,2 milliard de dollars.