Un jour sans fin (Groundhog Day en VO), traduit en Le Jour de la marmotte au Québec est une réalisation de Harold Ramis sortie en 1993. Bill Murray tiens le rôle principal aux côtés de Andie MacDowell et Chris Elliott.
En 2006, le film est sélectionné pour préservation par le National Film Registry de la bibliothèque du Congrès des États-Unis en raison de son intérêt « culturel, historique ou esthétique ».
Synopsis :
Phil Connors, est un journaliste désabusé qui travaille à la télévision comme présentateur météo. Comme chaque année, il part avec Rita et son caméraman, Larry, faire son reportage dans la bourgade de Punxsutawney, où l'on fête le "Jour de la marmotte". Dans l'impossibilité de rentrer chez lui pour cause d'intempéries, il se voit forcé de passer une nuit de plus dans cette ville perdue. Réveillé très tôt le lendemain, il constate que tout se produit exactement comme la veille, et réalise qu'il est condamné à revivre indéfiniment la même journée.
Bande annonce
Une petite vidéo de Dirty Tommy qui nous parle de ce film en évoquant quelques anecdotes.
Je me suis porté à voir ce film hier soir, c'est de quoi passer un plutôt bon moment avec cette boucle temporelle dans laquelle Phil incarné par Bill Murray, se retrouve prisonnier
. Dans l'ensemble j'ai vraiment bien aimé, nous avons un journaliste pour qui c'est véritablement un enfer de se coltiner un reportage dans un trou paumé où l'on fête le jour de la Marmotte chaque année pour conclure qu'il restera encore 6 semaines d'hiver avant le printemps, autant dire que c'est pas ce qu'on fait de mieux comme festivité, mais c'est bon pour remplir un peu un JT, c'est le genre de chose qu'à de quoi aimer Jean-Pierre Pernaut par exemple . Mais notre journaliste là c'est vraiment pas son truc, on a de quoi le trouver plutôt affable et qu'il méprise les habitants de ce patelin du fin fond du trou du cul de l'Amérique lol. Un coin paumé dont il aimerait vite repartir aussi sec, sauf que les éléments s'en mêlent avec une tempête de neige qu'il n'avait pas prédit en bon monsieur Météo et à partir de là il va revivre la même journée de nombreuses fois . C'est plutôt plein de charme, on a vraiment un bon petit truc avec cette histoire ayant de sa grande touche de romance qui vient avec le principe de cette boucle temporelle d'abord avec son côté infernal mais dont il va venir à profiter. Il a de quoi évoluer et fournir de nombreux efforts à recommencer chaque journée inlassablement, c'est de quoi en profiter pour faire des conneries qui n'ont pas de conséquences avant de considérer plus sérieusement cette opportunité et chercher à en sortir. Moi par contre quand je vois les efforts qu'il fait, je me dis que j'en profiterais plutôt bien un maximum de fornication totale sans que ça me coute quoi que ce soit vu que ce serait de l'argent qui reviendrait chaque jour
. Bon puis évidemment tu peux tranquillement faire plein d'autres choses à revivre une telle journée un tant soit peu plaisante et dans un bon contexte, pas comme avec le Covid bien sur, comme le dit presque Tommy, et on peut carrément le dire, on vit bien un jour sans fin avec ça et pas pour le meilleur 
. Enfin après c'est sur qu'il faut trouver le moyen de sortir de la boucle et pas juste en profiter trop tranquillement, encore que, à la rigueur c'est possible de s'en inquiéter au bout d'un temps suffisant pour avoir lu et vu en plus d'autres choses tout ce qui pouvait l'être 
. Et sinon concernant ce que nous avons, ce qu'on peut dire c'est qu'il faut vraiment être persévérant, faire preuve de grande patience, c'est le cas en amour et ça ne fait que grandement se caractériser là à ce que petit à petit il trace tout un chemin jusqu'à la perfection ^^. Et ce n'est pas sans coups de mous, puis d'ailleurs quand on sait qu'en même temps Bill Murray était en pleine séparation et que ça le foutait très mal à ce qu'il ne soit pas tellement à avoir le moral pour un tel film on peut comprendre qu'il ait du mal avec ça. Enfin bon, quoi qu'il en soit, il nous fait une bonne prestation ici et a de quoi prendre bien de l'expérience, faut vraiment que ce soit une boucle qui dure très très longtemps...
Alors y a de quoi apprécier pour la romance, voir cette évolution, comment il profite de la situation mais on peut également considérer que c'est une forme de purgatoire avec cette répétition à l'infini où il doit faire en sorte d'expier tout ce qui peut lui être reproché, c'est une lecture qu'on peut bien faire avec tout ceci. Je ne pensais pas forcément au fait qu'il a pu mourir dans ce patelin dès le départ en voyant, mais ça se tiens très bien tout en étant un prétexte à une autre manière d'aborder la romance qui nous occupe ici. On a par ailleurs de quoi être plutôt sous le charme de Andie MacDowell ^^. %Maintenant après en ce qui concerne cette romance j'ai de la préférence pour d'autres mais c'est du bien plaisant dans l'ensemble avec cette axe qui est pris.
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je me rappelais pas j'e pleurais de rire "c'est pas trop mal pour un quadrupède, garde tes distances...") ou tristes (le vieux SDF qu'il tente de sauver sans y parvenir au début)...
Moi, rien que le titre, je rigole déjà 
et d'autres gags qui se répètent...).
