Fanfictions sur Zorro

[Elmys]

Mouarf d'accord Euh pis tiens le "Dark Zorro" bizarre ça alors qu'il est malade , ça voudrait dire quoi ?

Héhé... Plein de choses...
Voici du dark Zorro, lis ça : https://www.fanfiction.net/s/11142206/5/La-Vengeance-de-Diego-ou-la-Col%C3%A8re-de-Zorro

Mais ce sera pas pareil ici

[Scarabéaware]

Espèce de cachottière hihi
Mais en tout cas d'accord, avec cette fic je vois un peu mieux ce qu'il en est, comment ça peut être . Mais là va falloir de la reprise de force, j'imagine bien que ça va aller différemment avec toi

[Elmys]

j'imagine bien que ça va aller différemment avec toi

WTF ? Comment ça avec moi ?

[Scarabéaware]

Bah à ta façon, je sais pas quoi dire de plus

[Elmys]

Bah à ta façon, je sais pas quoi dire de plus

Mais c'était ma façon le lien que je t'ai donné, tu as donc voir quel genre de style j'avais quand j'écris du dark je crois que ça va à peu près être pareil, sauf que je vais accentuer à mort sur le Darkness

[Scarabéaware]

Ah mais oui effectivement dis donc
Faudra que je me mette à cette lecture aussi

[Elmys]

Bon, demain j'essaie , mais c'est pas sur ( je dis comme phox quand il prépare les résultats du tournoi )

[Scarabéaware]

Oué allez go

[Elmys]

MAUVAIS RÊVE ?

Diego ferma les yeux près à recevoir le coup, il se crispa à la fois en serrant ses dents.
Mais rien ne vint. Il entendit un bruit léger, une légère brise comme si quelqu'un se déplaçait doucement devant lui. Il ouvrit les yeux. Il retint son souffle, ne comprenant pas ce qui se passe.
Une forme noire. Ou plutôt un silhouette noire s'était interposé entre lui et ses agresseurs. C'était un homme, d'une grande taille, vêtu de noires.
"- Qu'est-ce...commença Pedro.
L'individu se déplaça rapidement, de son épée, il lui transperça la gorge. Le corps du serviteur tomba dans la poussière. Diego retint son souffle et cligna des yeux, pensant que ce n'était qu'un rêve ou un cauchemar. Il déglutit quand Valero hurla le nom de "son sauveur".
"- ZORRO !"
L'homme noir fonça sur lui et planta sa lame en plein coeur, avant de le retirer sauvagement tout en éclaboussant de sang le sol. Il se tourna ensuite vers Diego qui recula, mi-effrayé, mi-confus. La fièvre le tétanisait au plus haut point. Sa vision était trop floue pour qu'il distingue correctement les traits non-masqués de celui qui est venu lui porter secours. Ce n'est que lorsqu'il s'agenouilla auprès de lui, qu'il aperçut alors certains traits similaires au sien.
"- Qui êtes vous ? Souffla Diego.
Aucune réponse. L'inconnu en noir enleva ses gants noirs et posa sa main sur son front.
"- Pourquoi les avoir tué ? Ce n'était pas nécessaire...Continua Diego.
Un ricanement sec et froid.
"- C'est ce que tu aurais voulu faire, Diego."

Un silence s'installa alors. Diego analysa avec difficulté le sous-entendu de ce Zorro.
"- Je ne comprends pas.
- Tu comprends mieux que quiconque, car après tout, je suis toi, répliqua l'autre d'un ton glacial.
Ce dernier voulut l'aider à se mettre debout et à le soutenir. Mais Diego le repoussa, s'éloignant de lui. Son mal de tête augmentait. Il délirait sans aucune évidence. Il avait fait certainement une fièvre délirante.
"Ce n'est qu'un rêve, un cauchemar, pensa-t-il en fermant les yeux.
Tu ne peux pas me chasser comme ça. Je viens de te sauver la vie.
Il rouvrit les yeux. Zorro avait disparu...du moins, il n'était pas là où il se trouvait à la seconde précédente. Il était debout à l'étage supérieur de la grange ( il venait de remarquer qu'il était alors dans une grange ), entre deux blocs de foin.
"- Tu te demandes qui je suis, tu te demandes comment ai-je fait pour arriver jusqu'ici ? Lança Zorro, et bien c'est simple. Je suis toi. Tu n'as qu'à fermer les yeux encore une fois et j'aurai disparu...mais tes mains...seront salis par le sang. Car ces hommes, c'est toi qui les a tué."

[Scarabéaware]

Waow le truc Oh bordel...eh mais c'est, oui ça fait folie, c'est assez hallucinant et bien surprenant
Ah oui là dis donc, malade et pour ainsi dire avec une espèce de folie meurtrière , hum limite schizophrène hein ?
Ma foi ça croustille lol, vivement un éclaircissement de la suite sur la situation

[Elmys]

hum limite schizophrène hein ?

Dans la série, c'est terriblement parfois inquiétant y a quelques passages qui me font penser à ça

[Scarabéaware]

Oui ben oui ça de toute façon difficile qu'il ne le soit pas un peu

[Dark Hal]

Don't Be Afraid.

Le souffle du vent frappa son visage. Doucement, il ouvrit les yeux. La Lune illuminait le ciel. Il n'y avait rien d'autre que son cheval noir auprès de lui et une champs de fleur qu'il avait trouvé dans cette région isolée. Seul. Du moins, humainement parlant.
Non loin de lui, Tornado broutait tranquillement tandis qu'il était confortablement installé par terre, paresseusement.
Que faisait il ? Que cherchait il ? Il se sentait abandonner. Il avait l'impression d'un grand vide. Il avait pression de faire une erreur. Mais laquelle ? Que pouvait signifier ce sentiment ? Ces sombres pensées si tumultueuses le torturaient. Il n'arrivait pas à comprendre ce qui lui arrivait.
Si longtemps, la mort, la peur, la fuite l'avaient suivi dans ses périples les plus dangereuses. Et aujourd'hui, le voilà, à crier silencieusement sa détresse. Personne ne le voyait, personne ne l'entendait, personne ne pouvait l'aider. Car personne ne savait qui il était réellement. Un masque lui cachait le visage. Un autre lui voilera son coeur. Un autre encore jouera un personnage qu'il avait inventé. Mais personne ne le verra lui. Personne ne pouvait voir qui se cachait derrière ces deux personnages : le Héro et l'Homme.
Mais qui était il entre ces deux personnes ?

Il était humain.

A ce moment là, il aurait aimé que les Hommes soient assez intelligents pour reconnaître en chacun d'eux le peu de bonté que pouvait détenir leur coeur.
Pourquoi personne ne voyait le Bien ? pourquoi était il le seul à agir ? Pourquoi personne ne tentait quoique ce soit pour affronter le malheur et le mal ?

Entendez le, criez son nom ! Ne baissez pas les yeux...

Que voulait-il ?
Vivre.
Que souhaitait-il ?
Le bonheur.
Qu'attendait-il ?
Rien.

Rien. Il n'attendait rien venant des autres. Juste de la joie.

Des larmes qu'il versa. Des cris qu'il retint. Des rires qu'il cacha. Des paroles qu'il murmura. Des pardons qu'il accepta. Mais qui...qui viendra un jour venir essuyer ses larmes, entendre ses cries, comprendre ses rires, écouter ses paroles...et lui pardonnait pour ces mensonges. Oui, il avait menti. Longtemps, pour se protéger, protéger les autres, pour sauver, pour aimer, pour laisser vivre.

Qu'importe.

Il tourna sa tête vers Tornado, puis ses yeux s'agrandirent et c'est là qu'il comprit. . Les images devinrent plus net. Le paysage nocturne disparaissaient, le masque était enlevé, son cheval noir n'était plus là. Et tout devint plus visible.

Il n'avait plus à penser, ni à souffrir de ses tourments. Il comprit dorénavant. Personne...

"- Bernardo."

Sauf...

Le sourd-muet se précipita vers lui et se pencha, inquiet de le voir dans cet état si desespéré.

"- Pardonne moi."

Il rit nerveusement. Le petit homme le redressa doucement.

Il s'accrocha à sa chemise comme s'il craignait qu'il ne soit un mirage.

Il hurla.

Il cria.

Il versa ses larmes.

Il redevint un enfant.

Cet enfant qui sanglotait dans sa couverture lorsque minuit sonnait. Cet enfant qui a du affronter la terreur, seul. Cet enfant qui n'a connu la chaleur maternelle.

Car il avait oublié....qu'il n'était plus seul. Plus jamais seul. Que la nuit, quelqu'un sera là. Que la nuit sur son cheval noir, les cauchemars ne seront que des souvenirs. Que la nuit, lorsqu'il rentrera, quelqu'un l'attendait. Que la nuit, était une protection. Que la peur était une défense, un bouclier. . Il n'aura plus à se cacher. Il n'aura plus à terrer ses frayeurs au plus profond de lui.

On était là. Pour l'écouter, l'entendre, le soutenir, le consoler. Il y avait un ami sur qui il pouvait compter. Il leva les yeux emplis de

Bernardo savait. Il savait que son maître avait peur du noir.

La peur peut rendre plus fort.
La peur peut être le bouclier le plus efficace.

La peur rend courageux, c'est pour cela qu'elle existe.

[Dark Hal]

Désolé, il était long le premier.

The Eyes of Ana Maria

Alors qu'elle montait sa digilence. Elle se retourna. Diego s'éloignait doucement. Sa démarche lui était si familière. Elle voulait tendre ses bras et l'attraper pour pas qu'il ne s'échappe.
"Non..." Souffla-t-elle sans le vouloir.
Elle avait envie de crier son nom. Mais il ne se retournera pas. Elle le savait. Pourquoi ?
Une intuition ? Ou bien connaissait-elle la réponse.
Elle se souvint alors de ses yeux avant qu'il ne la quitta. Triste, déterminé et pourtant si résigné. Pourquoi ! Eut-elle envie de lui crier. Pourquoi ne la regarde-t-il pas en face, pourquoi ne faisait il aucun signe d'adieu. Tout comme Zorro, qui ne s'était pas retourné pour lui dire pleinement adieu, qui n'avait dit "Soyez heureuse".
"Soyez heureuse, Ana Maria" Avait dit aussi Diego.

Elle s'assit dans la voiture et encore une fois, jeta un oeil vers Diego qui s'était arrêté. On demarra. Là, il pivota légèrement comme s'il craignait qu'elle ne l'observe un peu trop.

Résigné...Et pourtant, elle pouvait ressentir tout son amour qu'il versait à ce dernier instant.

C'est là qu'elle comprit. C'est là qu'elle découvrit le masque de celui qu'elle aimait le plus au monde.

Non.

Non.

Pas ça.

Sa main tremblait.

Résigné, il était.

"Je sais que vous le comprenez".

Résignée, elle le sera.

Elle fit de même. Elle ne pivota que légèrement. Un dernier regard pour lui montrer tout son amour.

C'était terminé. Leurs yeux indiquaient clairement...Ils indiquaient clairement que c'était fini. Qu'elle avait vu trop tard et que c'était mieux ainsi.

[Scarabéaware]

Il est même énormément trop long pour un Drabble le premier , et le second fait le double de ce qu'il devrait être
Normalement c'est exactement 100 mots , là t'as 634 mots sur le premier et 248 mots au second
Voila pour l'aspect technique, après bah j'aime assez ce que ça donne là . C'est pas mal de voir cet état de Diego quand même, à en pleurer quand même, tu nous le fait très sensible à cette peur. Et le second ben...Ana Maria qui tilt trop tardivement, hum un peu poignant. Somme toute sympa.

[Dark Hal]

Eh, j'avais bien dit "Renardesque"

[Scarabéaware]

Ah effectivement nuance très importante
Le renardesque dépasse l'entendement, il est cosmique

[Dark Hal]

Et ça continue...

Il ouvrit ses yeux.
Il se trouvait dans sa chambre. Comment était-il arrivé là ? Comment était ce possible ? Avait-il été réellement enlevé ? Ou bien...

Quelqu'un entra.
Bernardo. L'air inquiet.

"- Comment...Comment je suis arrivé là ?"
Bernardo resta...muet. C'est le cas de le dire. Mais pas seulement. Une tache rouge apparut au milieu de son torse.
NON ! Hurla Diego. Le corps de son ami se décomposa. Il referma les yeux et se recroquevilla protégeant sa tête avec ses bras.
"- ça suffit ! Arrête ça ! Je ne suis pas un meurtrier !"
Si tu en es un.
"- C'est faux ! Laisse moi !!!"
Il serra ses dents, il pria pour que ce ne soit qu'un rêve, un mauvais rêve.

Et quand enfin, il perçut un silence...il était dans seul. Il marchait sur l'eau. Son reflet était l'unique "être" qui semblait se mouvoir. Il marcha doucement, ne sachant quoi faire. Au loin, il vit une silhouette qui avançait. Il alla la suivre.

[Scarabéaware]

Hinhin, la tite vision cauchemardesque avec Bernardo, tu nous le plonges bien dans ce cauchemar
La fièvre continue lol

[ZORRO]

Vais passer pour une buse... C'est un texte à faire de moins de 110 mots ?

[Scarabéaware]

Oui c'est 100 mots normalement mais tu vois c'est du drabble renadesque sauce Elmys qui NurZette des bois fleuris donc c'est différent tu vois

[ZORRO]

C'est bien noté, merci...
1000ème message... ENFIN !

[Scarabéaware]

Bravo, et t'es chez Shaka

[ZORRO]

Merci... Je vais faire attention alors...

[Elena1936]

Alors y'a Bernardo qui s'amene a la taverne. Il commence a faire du flamenco feroce a la guitare espagnole que Caporal Reyes joue.

"Ah mais dis donc, Diego, pour un sourd-muet, il a du rhytme ce petit," s'exclame sergent Garcia a son ami, entre deux coups de vin.

"Oui, c'est vrai," lui repond Diego. "C'est les vibrations qui lui permettent de garder le rhytme."

Sgt Garcia se leve et approche Bernardo lorsque celui-ci a termine' de danser.

"Mais tu danses vraiment tres bien, mon petit!"

"Oui, et tu devrais m'entendre chanter," repond Bernardo.

D'un seul coup, il regarde Diego qui lui fronce les sourcils et Bernardo se tire de la taverne a toute vitesse.

Sgt Garcia a une expression perplexe et il n'en revient pas. Il fait des comptes sur ses doigts.

"Alors Diego," il hurle du milieu de la taverne, "si votre valet n'est ni sourd, ni muet... ca veut dire que vous etes Zorro?"

Caporal Reyes et Sgt Garcia arretent Diego et le mettent en prison. Garcia recueille la rançon le lendemain.

Fin.


Ben quoi, ca vous a pas plu?? --------->>>>

Vous avez oublie de lire le titre que je lui ai donne a mon message??

[Scarabéaware]

Oh non non mais...oué ben un grand What The Fuck quoi

[Elena1936]

LOL!! Oui exactement!!!

[Dark Hal]

Oui c'est 100 mots normalement mais tu vois c'est du drabble renadesque sauce Elmys qui NurZette des bois fleuris donc c'est différent tu vois

les renards ont plus que 100 poils...

[Scarabéaware]

Comment que c'est bien dis

[Dark Hal]

Musique d'inspiration :

The friend's horse

Mon maître souffrait de sa blessure. Il respirait trop fort. A chaque fois que mes sabots heurtaient le sol, il gémissait de douleurs. Il n'allait pas tenir. Derrière moi, des indiens...Des indigènes. Je ne l'aimais pas, ils étaient si sauvages. Mais mon maître ne pouvait pas rester sur mon dos à souffrir en silence, je le sentais qui me lâchait mes rennes. Je sentais qu'il était sur le point de tomber.

Non. Mon maître, tenez bon.

Puis, alors que je contournais des rochers et que je me dirigeai droit vers l'hacienda des de la Vega, son corps me glissa de mon dos.

Non !

J'entendis son corps tombait à terre. Je m'arrêtais et de mon museau tentait de le remettre sur pied. Il était évanoui, saigné au niveau de son flanc gauche, une flèche plantée.

Pourquoi ? Pourquoi ont-ils tiré sur lui alors que c'était la faute de ces maudits soldats qui avaient voulu traverser les terres des Indiens en pensant pouvoir trouver de l'or ou je ne sais de précieux à leurs yeux. Et mon maître, humain au coeur d'or, n'avait pu s'empêcher d'aller leur prévenir...

Je voulais le réveiller, mais en vain, je n'entendis que sa respiration saccadée et sifflante. J'étais inquiet.

Mon maître, réveillez-vous. Je ne peux pas vous abandonner alors qu'il ne reste que quelques vingtaines de galop à faire ! Je continuai alors à le secouer.

Il réagit. Il ouvrit les yeux. Il tendit sa main tremblante au niveau de mon museau.

"- Tout doux, Tornado, tout doux...je ne t'abandonnerai pas."

Il me sourit.

Je compris alors. Je n'avais pas peur de l'abandonner...Mais j'avais peur que LUI m'abandonne. Je ne voulais pas être seul. Je ne voulais pas être le dernier de ma race à vivre dans la solitude.

Je m'allongeai auprès de lui afin de lui procurer de la chaleur. Je savais que le serviteur muet viendrait nous chercher, il avait un don pour connaître à distance les pépins de mon maître.

Je veillerai aujourd'hui sur mon maître.

Il ne va pas m'abandonner...et moi non plus je ne l'abandonnerai pas.

Mon maître.

Mon cavalier de la nuit.

Mon ami.